Me revoilà à la fin d'un autre Salon du livre. Comme d'habitude, j'en ressors étourdi. Cela se résume en un seul mot : trop.
Trop de monde. Trop de contacts. Trop de choses à faire. Trop d'éditeurs à rencontrer. Trop de négociations à suivre. Trop de détails à retenir.
Et puis, pas assez. Pas assez de temps pour placoter avec les gens qu'on aime, les amis auteurs, les employés des maisons d'édition, les fidèles lecteurs qui reviennent nous voir salon après salon, les nouveaux avec qui on se découvre des atomes crochus, les enfants, les ados...
Trop et pas assez. C'est pour ça que je n'aime pas les salons : il y a trop de trop et trop de pas assez.
Ah, mais bon, j'ai pu constater aussi à quel point la série "Les Voyages de Nicolas" plaisait, combien elle avait d'adeptes, non seulement chez les jeunes, mais aussi chez les professeurs. Et "Un massacre magnifique" qui marche à fond...
Et ça, ça ! ce n'est pas de trop.
Je me demandais, est-ce que tu as eu beaucoup de visites de lecteurs ? Est-ce que tes livres sont assez populaire ?
RépondreEffacerJe te rassure, ma grande : plein de visiteurs pour moi et beaucoup de livres ont été dédicacés.
RépondreEffacer;o)
C'est contrastant avec la solitude et la tranquillité du temps d'écriture... surtout quand c'est dans des "State park" au décor désertique.
RépondreEffacerN'est-il pas?
On ne peut mieux dire.
RépondreEffacerYé pour "Un massacre magnifique"!!! Faut qu'il trouve son public ce livre-là!
RépondreEffacerMerci de ton bel enthousiasme, Andrée. Au moins, je suis rassuré sur quelque chose : j'ai livré la marchandise. Pour le reste, je n'ai aucun contrôle, alors, je croise les doigts en me disant que, si la chance me sourit, les lecteurs potentiels qui aimeraient ce type de littérature le découvriront au milieu des 1 milliard de titres qui l'environnent.
RépondreEffacerC'est comme pour "Miss Pissenlit", finalement. ;o)
Bonjour Camille,
RépondreEffacerBien contente d'avoir fait ta connaissance au SILQ (et d'entendre comment tu expliques tes livres aux jeunes lecteurs).
Au plaisir,
Julie
Ç'a été un grand plaisir pour moi aussi, Julie. C'est agréable d'échanger entre passionnés.
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