Merci, Julie. Que veux-tu, j'ai hérité de gènes d'outardes.
Je pars dans un mois exactement et je ne reviens qu'en avril. Je vais manquer le Salon du livre de Montréal, mais bon, moi, les gros happenings... J'aime mieux les petits salons régionaux.
Eh! oui, vous êtes béni cher palmier, d'être aux premières loges pour être témoin de l'écriture des futures oeuvres de ce brillant auteur! Peut-être pourrez-vous nous en dévoiler quelques bribes? Nous sommes très curieux vous savez! Francine
Francine, ne donnez pas de mauvaises habitudes aux palmiers. Manquerait plus que je me retrouve toujours à écrire avec un palmier penché sur mon épaule. Ça distrait.
Tu repars encore cette année? Un vrai oiseau migrateur! Bon voyage, Camille!
RépondreEffacerMerci, Julie. Que veux-tu, j'ai hérité de gènes d'outardes.
RépondreEffacerJe pars dans un mois exactement et je ne reviens qu'en avril. Je vais manquer le Salon du livre de Montréal, mais bon, moi, les gros happenings... J'aime mieux les petits salons régionaux.
Eh! oui, vous êtes béni cher palmier, d'être aux premières loges pour être témoin de l'écriture des futures oeuvres de ce brillant auteur! Peut-être pourrez-vous nous en dévoiler quelques bribes? Nous sommes très curieux vous savez! Francine
RépondreEffacerFrancine, ne donnez pas de mauvaises habitudes aux palmiers. Manquerait plus que je me retrouve toujours à écrire avec un palmier penché sur mon épaule. Ça distrait.
RépondreEffacerAh! Écrire...les deux pieds dans le sable...,à l'ombre d'un petit palmier, même un petit palmier indiscret, ce doit être merveilleux! Francine
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