Ces anglophones qui étudient en "français, langue maternelle" (car n'allez surtout pas leur dire qu'ils sont en "français, langue seconde", ce qui serait une injustice à leur niveau de français très, très élevé), ces anglophones, donc, ont travaillé sur mon roman Le Coup de la girafe, sous l'encadrement de leur enseignante Rachel-Denise Thompson, une jeune femme à l'enthousiasme rare et au rire charmeur et contagieux.
Bravo à tous! J'ai été absolument ravi de passer cette heure d'échanges avec vous.
Malcommodes en? Vous deviez bien vous entendre avec eux! ;0))) Ils sont chanceux de vous avoir eu comme auteur-invité. FD
RépondreEffacerHum... J'avoue que je suis souvent responsable d'avoir provoqué le foutoir dans les groupes que je rencontre.
RépondreEffacerBelle occasion pour utiliser ma nouvelle expression, belle brochette de potache en goguette! ;0) fd
RépondreEffacer* potaches
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