Mon corps diffusait une douleur lancinante, vive un instant, modérée la seconde suivante, sans qu'il me fût possible, étrangement, d'en reconnaître la source exacte. Le mal fluait et refluait ainsi que la marée lèche la grève, y étend l'humide souvenir de son errance, se rappelle aux promeneurs tout en se remembrant la trace à emprunter à la prochaine vague.
Un massacre magnifique
© Éditions Hurtubise
2010
© Éditions Hurtubise
2010
Un massacre magnifique, un des plus beaux livres que j'ai lu. En passant ce petit passage m'avait bien fait rire.«-Comment vous portez-vous? s'informa le noble en détaillant de ses yeux couleur pluie d'automne la regardure de son visiteur. Vous me paraissez avoir un tantet maigri depuis notre dernière rencontre. On dirait que la table de la Tour ne vous a guère réussi.
RépondreEffacer-Déjà que la table angloise en elle-même...fit Ribault en laissant délibérément sa phrase en suspens. p.274
J'ai oublié de signer. Francine
RépondreEffacerMême sans signature, Francine, j'avais reconnu votre touche enthousiaste. Je ne sais pas combien de fois je vous ai remerciée depuis que vous m'écrivez, mais ça en fera une de plus. Eh oui! ;-)
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