Bon, je ne suis pas si grognon, quand même. J'ai trouvé des points positifs au SILQ, aujourd'hui. Je veux dire, en dehors de mes conversations avec mes potes et avec de jeunes lecteurs absolument craquants (exemple, un petit garçon de neuf ans qui lit des polars pour adultes parce que la littérature jeunesse est trop bébé pour lui - chapeau, Mathis!).
Bon, par exemple, j'ai rencontré quatre de mes éditrices, et ces entretiens se sont avérés très agréables et résolument stimulants (ben oui, éditrices au féminin, c'est comme ça, je ne vais pas m'en plaindre). Je vous promets plusieurs très beaux romans à venir dans les 18 prochains mois.
Mais il y a cette lectrice qui... Je ne sais pas si je dois vous le dire... Ah pis, chnoutte! Depuis le temps qu'on se connaît vous et moi, je peux bien vous confier des affaires. Figurez-vous qu'une visiteuse vient me dire comme ça que son beau-frère (un type dans la vingtaine) porte le prénom de Camille parce que lorsque sa mère était enceinte de lui, elle a lu un de mes romans, l'a apprécié, et a décidé d'appeler son fils du prénom de l'auteur.
Au début, j'étais ému.
Ensuite, je me suis dis : Sacrebleu! Je suis si vieux que ça?!?!
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