Aujourd'hui, c'est le dernier jour de notre voyage. Dès demain, après le déjeuner, nous prenons l'avion en direction du Nord.
On fait nos derniers adieux aux oiseaux dont on ignore les noms, mais qui égaient notre terrasse depuis 2 semaines. On s'amuse des dernières cabrioles des anolis, on s'inquiète du sort de celui qu'on abrité (sans doute malgré lui) dans le logement pendant quelques jours et qui avait perdu sa queue au cours d'un drame dont on ignore tout...
C'est triste de quitter un endroit aussi idyllique. On vous en reparlera une fois revenus chez nous (et remis du choc polaire). On vous parlera de Nicole et Éric qui nous ont reçus dans leur gîte. Des gens vraiment formidables.
Allez ! C'est le dernier jour. Je ne vais pas perdre mon temps devant cet écran.
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On fait nos derniers adieux aux oiseaux dont on ignore les noms, mais qui égaient notre terrasse depuis 2 semaines. On s'amuse des dernières cabrioles des anolis, on s'inquiète du sort de celui qu'on abrité (sans doute malgré lui) dans le logement pendant quelques jours et qui avait perdu sa queue au cours d'un drame dont on ignore tout...
C'est triste de quitter un endroit aussi idyllique. On vous en reparlera une fois revenus chez nous (et remis du choc polaire). On vous parlera de Nicole et Éric qui nous ont reçus dans leur gîte. Des gens vraiment formidables.
Allez ! C'est le dernier jour. Je ne vais pas perdre mon temps devant cet écran.
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Un beau soleil vous attend demain à Dorval, ainsi qu'un très magnifique -16 degrés! Hi! hi! Bon retour!
RépondreEffacerEt merci pour ce merveilleux récit de voyage!
Joxx
Merci de nous avoir suivis, Jo !
RépondreEffacerBon retour au Québec ! je communique avec toi sous peu.
RépondreEffacerJean
Tu n'oublies pas de dire au revoir aux chiens errants ;-)
RépondreEffacerRémy
Ce fut un vrai plaisir de vous accompagner par la pensée! Merci pour les photos, commentaires, réflexions... Bon retour!
RépondreEffacerMartine
Merci, Jean et Martine.
RépondreEffacerRémy, y a même des chiens errants à Saint-Marcel. Je ne leur échapperai jamais. Sales bêtes!
Des touristes belges m'ont demandé s'il était VRAIMENT possible de survivre à l'hiver québécois. J'ai hésité avant de répondre, car je ne suis pas un bon ambassadeur de l'hiver. Mais je me rappelle une phrase lue sur la Côte-Nord : il n'y a pas de température trop froide, il n'y a que des gens mal habillés.