« Camille Bouchard traite de l'esclavage des enfants avec beaucoup de délicatesse et nous transporte dans une aventure palpitante propulsée par le courage de ses personnages. Une fois de plus, l'inconnu, l'étranger, le bout du monde se rapproche de nous et nous en sortons grandis de plaisirs et de connaissances. »
Katia Courteau
Librairie Clément Morin
Katia Courteau
Librairie Clément Morin
Dans la série
Les Voyages de Nicolas
Trafic au Burkina Faso
© Éditions Dominique et Compagnie
La quatrième de couverture :
Nicolas est au Burkina Faso, en Afrique.
Par hasard, son chemin croisera celui d’une mystérieuse inconnue qui l’entraînera dans une périlleuse mission : libérer des enfants destinés à l’esclavage…
Mais comment Nicolas fera-t-il pour affronter les terribles trafiquants d’enfants ?
Une aventure intense !
En librairie !
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Salut Camille!
RépondreEffacerJe viens de terminer la lecture de ce livre et je suis tout à fait en accord avec cette «très gentille critique» comme tu dis. Ça m'a donné le goût d'en lire d'autres! Ton style est très différent de ce qui se fait habituellement en roman jeunesse et cette différence fait du bien. Bravo!
Cette semaine, j'ai animé mon premier atelier haïku! Ça y est, la glace est brisée et maintenant je sais que je m'y sens bien et à ma place. Les jeunes étaient très attentifs, j'ai adoré. Au-delà du partage de connaissances au sujet du haïku, il y avait ce partage de la passion. Un partage qui se fait au niveau du coeur et de la petite lumière qui brille dans les yeux et qui fait énormément de bien aux jeunes. Je suis certaine que les jeunes t'adorent et se nourissent de la passion qui brille dans ton oeil.
Hélène
PS Tu m'as bien fait rigoler avec ton «haïku» d'épaulard et de homard!
Allô, Hélène !
RépondreEffacerMerci de ton petit mot. Oui, oui, les gentilles critiques sont toujours les bienvenues... surtout de la part des lecteurs(trices) de mon blogue.
Maintenant que tu as goûté au plaisir d'échanger avec les jeunes, tu comprends pourquoi on ne peut plus s'en passer. Ça ré-énergise comme c'est pas possible. J'aime bien aussi les rencontres avec les adultes, mais je n'en ressors jamais grandi comme avec les enfants et les ados.
J'espère qu'on se verra au SLM en novembre. À bientôt.
Camille