Je suis de retour à Trois-Rivières pour deux journées de rencontres à l'École Sainte-Thérèse. Je ne sais pas comment je vais m'en sortir. J'ai quatre rencontres aujourd'hui... et une extinction de voix. Drame chez les auteurs jeunesse.
J'ai retrouvé le magnifique bord de fleuve de mon gîte, les canards... et l'air horriblement empuenti de l'usine de papier. Impossible de garder ma porte-patio ouverte ; je m'asphyxie. Peuvent pas mettre des filtres sur leurs émissions polluantes?
Extrait d'un texte de l'UQTR :
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J'ai retrouvé le magnifique bord de fleuve de mon gîte, les canards... et l'air horriblement empuenti de l'usine de papier. Impossible de garder ma porte-patio ouverte ; je m'asphyxie. Peuvent pas mettre des filtres sur leurs émissions polluantes?
Extrait d'un texte de l'UQTR :
Dans les années 1920-1930, les usines de papier [...] crachaient tellement de fumée dans l’air que les pilotes qui guidaient les bateaux sur le fleuve craignaient de passer devant Trois-Rivières. La fumée qui s’échappait des usines formait un épais brouillard au-dessus du fleuve.
Ne voyant rien, certains bateaux s’accrochaient en face de Trois-Rivières. De nos jours, les cheminées rejettent encore de la fumée ; et l’odeur des papeteries vient régulièrement nous piquer les narines. De temps à autre aussi, un brouillard se forme au-dessus de la ville. Mais il n’y a plus d’accident de bateaux.
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