Aujourd'hui, j'ai une entrée de blogue qui s'adresse à mes lecteurs plus vieux. Vous vous souvenez de ces paroles d'une chanson très populaire dans les années 80?
(Quiz de la semaine : Qui peut me nommer la chanson?)
Tu es comme le vent qui fait chanter les violonsOu encore :
Et emporte au loin le parfum des roses.
Tu es pour moi la seule musiqueJ'ai toujours trouvé la toune kétaine. Et pourtant, à l'instar de l'écrivain Frédéric Beigbeder, je me demande: quelle femme résisterait à une pareille déclaration d'amour? C'est quand même assez bien tourné, non?
Qui fait danser les étoiles sur les dunes.
(Quiz de la semaine : Qui peut me nommer la chanson?)
Bon, ne me dis pas que je fais partie des vieux lecteurs?
RépondreEffacerÇa y est, j'ai "Parole, Parole" dans la tête pour toute la journée! Oui, c'est quétaine! La narration de Delon à la manière de "L'été indien" de Joe Dassin.
Oui, mais c'est bien tourné ou pas? Si un gars te sursurait que tu es pour lui la seule musique qui fait danser les étoiles sur les dunes, tu fondrais, non?
RépondreEffacer(À moins que tu lui répliques de lire Verlaine. Et le gars te murmure : Lui aussi, j'aime ses chansons.)
Oui, c'est très bien tourné. Tant qu'il ne me dit pas ces paroles avec un CD de Dalida en musique de fond. Mais personnellement, je craque davantage quand le gars en question me surprend et (encore mieux) me fait rire.
RépondreEffacerAvec Google aujourd'hui, pas très difficile de trouver. Mais j'ai lu les commentaires après seulement...
RépondreEffacerQuétaine? Je n'aurais pas employé ce mot, mais bon, à chacun son idée de la quétainerie.