À coups de millions, on investit dans les arts en général, mais dans la littérature en particulier, parce qu'on a compris que la lecture est un outil de croissance humaine.
Dans mon petit village de 1560 habitants, sur la grande place, on a trouvé moyen d'offrir des livres aux plus démunis. C'est pas à la colline du Parlement d'Ottawa qu'ils vont comprendre à quoi ça peut leur servir.
Si vous lisez l'espagnol et que vous désirez en savoir plus, cliquez ici.
Quelle bonne idée.J'espère que les gens sont nombreux à les emprunter.
RépondreEffacerJe sais qu'il faut vivre avec son temps mais pour moi rien ne peut remplacer le contact du livre papier.C'est une relation particulière, cela devient un ami que l'on aborde avec d'infinies précautions,que l'on retrouve ou découvre avec joie et qui vous fait vous évader de votre quotidien.Que le livre demeure.
Claudette