Après mes journées d'écriture (et de vélo), je passe mes soirées à lire, dessiner et... revisiter les vieilles bédés de ma vingtaine que je lis et relis tels ces classiques de la littérature dont on ne peut se passer.
En ce moment, je côtoie pour la nième fois Corto Maltese. Dans "La Balade de la mer salée", cette scène d'adieu avec Pandora, est l'une des plus romantiques de toutes ses aventures.
"C'est justement parce que tu ne ressembles à personne que j'aurais voulu te rencontrer toujours... n'importe où."
Pour la petite histoire, cet extrait sert d'exergue à mon roman "Le Sentier des sacrifices".
Avez-vous le goût de nous écrire et dessiner une bédé, Camille? Ce serait super! Bonne journée. Francine
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