jeudi 30 mai 2013

Ma femme de chambre

Quand je vais dans les hôtels, je laisse toujours, chaque jour, un petit 2$ à la femme de chambre. Me semble que ce n'est pas cher donné à quelqu'un qui gagne le salaire minimum et dont les impôts servent à payer (entre autres) les cachets des auteurs de mon acabit.

Il me semble que c'est un juste retour. Je suis conscient que je travaille fort aussi (et probablement pour ses enfants à elle), mais quand même... Le salaire de ces femmes (car ce sont toujours des femmes) est peu élevé, à mon avis, pour le travail qu'elles font.

Aux nouvelles, je lis quoi? Que des pourris sont forcés d'avouer devant la Commission Charbonneau avoir joué avec des milliards de dollars (des milliards!!!!!), argent qui vient, non seulement de nos impôts à vous et moi, mais aussi, justement, de ceux des femmes mentionnées plus haut.

Non mais, (bip! bip! bip!) ...nak de môzusses de corrompus de cimonak! Quand ces pourris se font loger dans des hôtels de luxe à nos frais, est-ce qu'ils laissent au moins des pourboires à leur femme de chambre?

mardi 28 mai 2013

En bus à Montréal

Je veux aller rendre visite à l'un de mes éditeurs au centreville de Montréal. Je pars de Saint-Léonard. Je n'aime pas conduire dans le trafic, alors je prends les transports en commun. Bus, métro, marche... Il fait beau, et j'adore parcourir une ville de cette façon.

Dans le bus, les portes sont fermées et le feu de circulation tombe vert. Le chauffeur met en première et s'apprête à partir. Par la rue voisine, traversent en courant quatre jeunes filles de 14-15 ans qui, visiblement, cherchent à nous rattraper. Le chauffeur, magnanime, remet au neutre, oublie le feu vert et rouvre les portes pour les adolescentes.

Elles montent à bord, rigolent et se félicitent d'avoir attrapé le bus à temps. Le feu retombe rouge. Le véhicule attend.

Je me dis que les jeunes filles doivent être sacrément reconnaissantes au conducteur. Mais elles filent vers l'arrière prendre une place sans qu'aucune des quatre, pas une seule milliseconde, ne croise le regard du chauffeur. Pas même au moment de payer. Aucune ne lui sourit et encore moins le remercie. Comme si le gars n'existait pas. Comme s'il était une pièce d'équipement de l'autobus.

En descendant à mon arrêt, je suis passé par le porte d'en avant. Je voulais passer près du chauffeur. Je lui ai dit merci. Il a répondu "pas de quoi". Il pensait que c'était pour moi. Mais je remerciais pour les filles.

vendredi 24 mai 2013

L'Affaire María Gómez - Ze couvert

OK, OK, je sais que vous vous pouvez plus, alors la voici, la fameuse couverture de

L'AFFAIRE MARÍA GÓMEZ


Détails en cliquant ici... ou .

© Éditions de La Bagnole, 2013


lundi 20 mai 2013

Trésor caché

Bon an, mal an, à chaque Salon du livre de Québec, j'ai droit à la visite de Chloé, ma filleule adorée. Artiste, lectrice, personnificatrice (vous devriez la voir en personnage de Manga vivante)... elle m'a inspiré plus d'une fois.


D'ailleurs, brisons un peu la magie de L'Homme de partout : ceux qui ont lu le roman savent maintenant qui se cache derrière le personnage de Cassandra. Eh non, ce n'est pas ma petite-fille.

vendredi 17 mai 2013

L'Affaire María Gómez

Hé que j'ai hâte de vous faire découvrir la couverture de mon roman ado qui sortira à la fin d'août (juste à temps pour la rentrée scolaire)!


Allez, je vous permets juste un œil par le trou de la serrure :



 (Oui, oui, l'accent sur le É sera changé pour le Ó.)

mardi 14 mai 2013

École Les Ursulines

À l'école Les Ursulines de Québec où j'ai eu le plaisir de faire des rencontres la semaine dernière, les élèves avaient fait des dessins suite à la lecture de mon roman "Derrière le mur". Ils devaient illustrer la scène qu'ils avaient appréciée le plus dans l'histoire.

Comme les dessins étaient trop nombreux pour que je puisse les publier sur ce blogue, j'en ai choisi une dizaine au hasard. Les voici pour votre plus grand plaisir.

Merci à tous mes ami(e)s de l'école et merci aux merveilleuses enseignantes Julie, Sonia et Stéphanie.











dimanche 12 mai 2013

Les girafes selon Prévert

C'est mon super pote Robert Soulières (écrivain, éditeur et lecteur boulimique), éditeur entre autres de mon roman Le Coup de la girafe, qui m'a fait parvenir ces très jolis vers de Jacques Prévert.

Dégustez :

L'Opéra des girafes

Comme les girafes sont muettes
la chanson reste enfermée
dans leur tête.

C'est en regardant très attentivement
les girafes dans les yeux
qu'on peut voir si elles chantent faux
ou si elles chantent vrai.

C'est-y pas beau, ça, hm? Ça donne le goût de relire Le Coup de la girafe, non?

jeudi 9 mai 2013

Encore plus partout

Dans le magazine 7-Jours de cette semaine (Vol 24, #30):

mercredi 8 mai 2013

Maxim et L'Ouragan

Maxim, un élève de première secondaire de l'école Odyssée-des-Jeunes, à Laval, un excellent lecteur et un amateur de mes séries "Pirates" et "À bord de l'Ouragan", a construit de lui-même sa propre réplique du terrible galion pirate, l'Ouragan, qui sème la terreur dans la mer des Caraïbes au cours du XVIe siècle.

Preuves à l'appui, voici des photos.



Bravo, Maxim!

dimanche 5 mai 2013

Un titre de circonstance

L'Homme de partout porte bien son titre. Après Le Libraire, Culture Hebdo, et des tas d'entrevues radio au cours des dernières semaines, vendredi, il était dans La Presse, et samedi dans Le Devoir.




(Comme d'habitude, il suffit de cliquer sur une image pour lire l'article.)

Bravo à ma fantastique attachée de presse, Natalie Dion.

vendredi 3 mai 2013

Culture Hebdo

Chouette critique.
 
Cliquez sur l'image pour lire en taille originale.

mercredi 1 mai 2013

Chouette article

Un très très chouette article sous la plume de la journaliste Julie-Andrée Verville dans le cahier culturel du journal Le Manic, de Baie-Comeau. Cliquez sur l'image pour l'article complet (ou rendez-vous sur le site du journal pour le feuilleter en ligne ― ledit article est à la page 54).