mardi 31 mars 2009

Plein de commentaires

Bonjour monsieur Bouchard,

Je suis l'enseignante de St-Adalbert que vous avez rencontrée à
St-Pamphile lors de votre conférence il y a environ deux semaines.

J'ai une élève qui vous a écrit pour vous mentionner que ça ne
fonctionnait pas quand on voulait mettre nos commentaires sur votre
blogue. Lorsque les élèves ont réécrit leurs messages, ils ont donc
coché "anonyme" comme vous l'aviez recommandé, mais cela ne semble pas
avoir fonctionné.

J'ai donc décidé de vous mettre en fichier attaché les commentaires
qu'ils vous avaient écrits. Libre à vous d'aller les mettre sur votre
blogue ou simplement de les lire. Il était vraiment important pour eux
que vous puissiez parvenir à lire ce qu'ils vous avaient écrit.

Merci beaucoup et au plaisir de vous revoir!

Commentaire de Maude :
Bonjour monsieur Bouchard,
J’ai adoré votre présentation car vous avez répondu à toutes mes questions.  J’aime vos livres, car ils sont tous très chouettes.  Je trouve que votre conférence est très dynamique car quand vous nous racontez une histoire, vous parlez vite.  Vous êtes spontané! Je vous trouve très gentil car vous avez signé notre livre. Quand votre présentation était finie, je me suis dit :« il faut que j’achète ses livres.  Ils ont l’air tous très intéressants. »  En fin de semaine, je suis allée chez Renaud Bray et j’ai acheté Pirates. Merci de m’avoir lue. Bye Bye.
P.S. Vous êtes un très bon auteur !

Commentaire de Tommy :
Bonjour monsieur Bouchard,
J’ai aimé votre présentation car vous nous faites rire tout en faisant connaissance avec nous.  Le roman que j’ai préféré en regardant vos livres, c’est celui avec les pirates.  Il a l’air plein d’aventures et on est attiré par l’image.


Commentaire de Jessica :
Bonjour m. Bouchard,
J’ai trouvé votre présentation très intéressante.  Quand vous racontez des histoires, vous avez une facilité incroyable à nous intéresser. M. Bouchard, je trouve que vos livres ont l’air très intéressants et je vous souhaite beaucoup de chance pour vos prochains romans.


Commentaire de Pénéloppe:
Bonjour M. Bouchard,
Je trouve que vos collections de livres ont l’air intéressantes, surtout celle sur les pirates et votre histoire « 39 ». Je les trouve mystérieux.  Après votre atelier avec nous (les élèves de 6e année), j’ai eu envie d’acheter tous vos récits!
Vous êtes très dynamique et enthousiaste.  Au plaisir de vous revoir!


Commentaire de Camille :
Bonjour M. Bouchard,
J’ai vraiment aimé votre présentation. Je vois que vous êtes très dynamique. Le livre « Le parfum des filles » est très triste et assez pour nous faire pleurer.  Quand je suis revenue de votre présentation, j’avais le goût d’aller acheter tous vos livres.  J’espère que vous allez continuer d’écrire des livres aussi intéressants pour les adolescents.

Commentaire de Marie-Pier :
M. Bouchard,
J’ai bien aimé votre présentation. Vous semblez être à l’aise avec le public.  Le livre « Le parfum des filles » m’a beaucoup touchée quand on l’a lu.  Je ne pensais pas qu’un si petit livre pouvait avoir autant de contenu émouvant. J’ai hâte de lire vos livres car en lisant leur résumé, je les ai tous trouvés intéressants.


Les amis, vous êtes vraiment merveilleux. Merci beaucoup pour vos commentaires. Moi aussi, j'ai eu beaucoup de plaisir à vous rencontrer et j'espère qu'on aura l'occasion de se revoir (après tout, on est quasiment voisins). À bientôt.
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Après Henri-Bourassa

Après ma journée de pose, hier, me voici en pause, ce soir (Robert Soulières, sors de mon corps!) pour 4 jours. Je me suis retapé la route Montréal-Saint-Marcel après la fin de ma série d'ateliers à l'école Henri-Bourassa de Montréal (18 en tout).

Comme l'an dernier, je quitte cette école avec une petite larme et un kleenex (non je n'ai pas le rhume encore, Dominique, c'est l'émotion). Collaborer avec cette gang de profs dynamiques et motivés, c'est un charme. Et ça se ressent chez les étudiants qui embarquent à fond. Un grand plaisir.

Merci à tous. À l'an prochain. Je reviendrai avec un immense plaisir.
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lundi 30 mars 2009

À Montréal plus tôt

Me voilà de retour à Montréal pour une dernière journée d'ateliers, demain, à l'école Henri-Bourassa.

Je suis arrivé plus tôt aujourd'hui, car j'avais une séance de photos chez une photographe professionnelle (ma chère !) pour les promotions à venir chez Hurtubise. Imaginez mon beau visage sur une immense affiche ; de quoi acheter tous mes titres.

J'en ai profité pour aller visiter les bureaux de mon éditeur de la série Pirates et constater si, pendant que les patrons sont en vacances en Floride, tout le monde travaille. Je rassure Hervé et Dominique : ça bourdonnait dans la bâtisse.

J'ai vu mes premiers exemplaires du tome 3 de Pirates, L'Emprise des cannibales, et je suis content, content. Ils sont super beaux. J'ai hâte de les montrer aux jeunes de première secondaire, demain.
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dimanche 29 mars 2009

Sur le vif


Le printemps !

Voilà le vrai signe du printemps : les merles sont arrivés.





vendredi 27 mars 2009

Badang !

J'ai été témoin d'un méchant accident, jeudi soir.

Je revenais de l'école et je roulais sur Pie IX, direction sud vers Rosemont, où se trouve mon gîte. Il s'agît d'une artère à 3 voies. Il y avait une voiture sur la voie de droite et une autre devant moi sur la voie du centre. À gauche, il n'y avait personne.

À l'approche d'un feu rouge, il me vient l'idée de changer de voie de façon à ce que nous nous retrouvions les trois voitures côte à côte sur la ligne d'arrêt. Finalement, je choisis de ne pas changer de voie et je reste à l'arrière de la voiture que je suivais.

Je remarque qu'il y a un homme et sa petite fille de 3-4 ans qui traversent l'intersection à pied. Ensuite, dans le rétroviseur de gauche, je vois arriver une berline beige à toute vitesse dans la voie libre (la même voie que je venais de choisir de ne pas prendre). La voiture n'a pas l'air de ralentir. Le temps qu'elle apparaisse par la vitre de la portière, je me dis : « Mon Dieu, elle va frapper l'enfant et son père !»

Heureusement (si je peux m'exprimer ainsi), une vanette venait de s'engager sur le feu vert (je ne sais pas le nom de la rue qu'on croisait, je n'ai pas remarqué et je ne connais pas assez Montréal). Elle coupe la route de la berline qui ne ralentit toujours pas et badang ! Un bruit d'enfer ! Un choc d'enfer !

La vannette perd l'aile côté chauffeur et son capot se soulève à moitié. La berline, stoppée net dans sa course, perd à peu près tout ce qui compose son devant, capot soufflé sur le parebrise.

À quelques pieds, statufiés, je vois le papa et la petite qui observent la scène.

La vanette, toujours fonctionnelle, est déplacée par son conducteur sur
le stationnement d'un commerce afin de libérer le passage. Pas la berline. Complètement scrap ! La conductrice, hébétée, l'air d'un zombie, ne semble pas blessée, mais garde les deux mains sur le volant, le regard fixe devant elle, ne semble pas croire ce qui vient d'arriver.

Le feu tombe vert, la berline bloque le trafic sur la voie de gauche et même une partie de la voie du centre. Déjà, il nous faut dégager la place et tous les véhicules qui arrivent derrière doivent obliquer sur la voie de droite. Un petit bouchon se forme déjà.

Il y a plein de monde pour s'occuper des accidentés, les automobiles reprennent la route. Faut qu'on dégage, mais ça roule plus lentement, je vous le garantis.

Et je me questionne.

Visiblement, la conductrice de la berline n'a pas vu le feu rouge. Si j'avais opté pour la voie de gauche tel que je l'avais d'abord envisagé, est-ce que je n'aurais pas évité cet accident ? Est-ce que la madame, si elle n'a pas remarqué le feu rouge, n'aurait pas vu alors la ligne de 3 voitures en attente ? Je ne sais pas. Peut-être qu'elle n'aurait rien vu pareil et que c'est ma voiture à moi qu'elle aurait frappé à l'arrière et c'est moi qui serais allé percuter la vanette.

Ou l'enfant.

Ça me tue d'y penser. J'ai été ébranlé toute la soirée de jeudi.
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jeudi 26 mars 2009

Mon anniversaire

(À mon ami Rémy :) Pour mon anniversaire (bientôt, bientôt), je veux un beau t-shirt et une tarte aux pommes :




mercredi 25 mars 2009

Le PEI

Aujourd'hui, je rencontrais 3 groupes du Programme d'Études Internationales de la gentille madame Jeanne-d'Arc Matar. Du bonbon !

J'aime garder une longue période au cours des ateliers afin de répondre aux questions des jeunes. Ainsi, puisque ce n'est pas nécessairement les mêmes questions qui reviennent d'un groupe à l'autre, les ateliers diffèrent forcément. Cela rend les rencontres plus intéressantes pour moi (je n'ai pas l'impression de me répéter sans arrêt) et aussi pour les jeunes, puisqu'on oriente la rencontre en fonction de leurs propres points d'intérêt.

Avec des allumés du PEI, je peux vous dire que les échanges sont drôlement intéressants et très diversifiés. Aujourd'hui, en tout cas, on a échangé sur des sujets à la fois sérieux  et originaux. Merci, la gang !
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mardi 24 mars 2009

Mémé moderne

Jeu vidéo pour mémés modernes :

lundi 23 mars 2009

HENRI-BOURASSA

De retour à Henri-Bourassa après un an d'absence, je suis surpris de constater que je me souviens à peu près de tous les profs, preuve s'il en est besoin, qu'ils m'avaient beaucoup impressionné par leur dynamisme auprès des jeunes. En fait, j'adore cette poly à cause aussi du fort taux de multiculturalisme qu'on y retrouve.

Parmi les jeunes rencontrés aujourd'hui, il y avait des étudiants qui étaient en secondaire 1 l'an dernier et qui ont demandé à me revoir afin de poursuivre la discussion. Josée, leur prof depuis 2 ans, a accepté et je les ai retrouvés alors qu'ils sont maintenant en secondaire 2. C'est la première fois que ça m'arrive et j'avoue que c'était vraiment formidable de retrouver, de la sorte, une classe qui entretient un tel enthousiasme (et une telle fidélité) pour un auteur. C'est plutôt rare et vraiment motivant.

Merci à eux et à Josée. Continuez à me lire, les amis, vous justifiez tout mon travail.
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dimanche 22 mars 2009

Montréal bouchon

Et après une rapide saucette chez moi pour faire de la lessive, remettre de l'ordre dans ma paperasse et retourner 1000 courriels, me voici de nouveau dans la métropole québécoise.

J'ai décidé de passer par la 40, car entrer dans Montréal par la 20 (et le tunnel ou les ponts) un dimanche après-midi, c'est à se damner. Eh bien, bout de bielle à came en tête ! figurez-vous qu'à Repentigny, il y avait un bouchon d'au moins 5 km ! Maudite ville de c... à m... !

Une chance, je suis arrivé sur les pare-chocs arrières des voitures du bouchon vis-à-vis l'entrée d'une bretelle donnant sur la voie de service. Je m'y suis engagé et j'ai longé le bouchon sur 3 km avant de constater que si je continuais ainsi, je me retrouverais comme un cave dans ledit bouchon qui n'en finissait toujours pas.

J'ai réagi au quart de tour et me suis engouffré dans Repentigny. Là, une gentille dame m'a orienté afin que je contourne l'autoroute et entre dans Montréal en passant par Cherrier, d'Iberville, Notre-Dame puis, enfin, Sherbrooke sur 12 km. Yéééé! J'ai été retardé de 20 minutes environ, mais au moins, je n'ai pas poireauté 4 jours sur la 40. (Rémy ?!?)

J'ai retrouvé mon bon ami Daniel (proprio du gîte et du studio où je crèche) et maintenant, je décompresse en me faisant réchauffer un bon pâté chinois (à la mode Nancy, hummmm).
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samedi 21 mars 2009

Copier-coller


jeudi 19 mars 2009

Éruption en direct

Voici une vidéo très spectaculaire de l'éruption volcanique qui vient de se produire au large des Tonga en plein Pacifique :

À la course

Pour les prochains jours, je serai un peu à la course pour entretenir ce blogue, étant donné que je quitterai Terrebonne dès après mes ateliers de demain pour faire des commissions à Québec et revenir chez moi à Saint-Marcel.

Ensuite, j'aurai à peine le temps de faire un peu de lessive qu'il me faudra repartir pour Montréal, afin de donner 15 ateliers à la polyvalente Henri-Bourrassa. Oui, oui, la même polyvalente où j'ai eu tant de plaisir l'an dernier. Yéééé! Il me tarde de saluer de nouveau mes bons amis, les profs de français de secondaires 1 et 2.

En fait de bons amis, je dois vous dire qu'ici, à Terrebonne, les profs ne sont pas en reste : ils sont vraiment gentils. (Marie-Pierre, entre autres, dynamique responsable de ma venue, est très sympathique.) Je passe une excellente semaine parmi eux.
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mercredi 18 mars 2009

Mexiiiiiiicoooo !

Il gagnerait sûrement un concours de lipsync.

mardi 17 mars 2009

Île des Moulins

Site historique à Terrebonne :















TERREBONNE

Jusqu'à vendredi, je rencontre les étudiants de première secondaire de la polyvalente Armand-Corbeil de Terrebonne.

La première journée s'est très bien passée. Les jeunes sont bien préparés et Marie-Pierre, la prof responsable de ma venue, est très dynamique, très sympathique.

En sortant de l'école, j'ai vu qu'il faisait super beau, avec un chaud 10°. Vous comprendrez que je n'ai pas le goût de m'éterniser dans ma chambre, derrière l'ordinateur. Je vais aller me promener dans le Vieux Terrebonne.

Hasta la vista !
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lundi 16 mars 2009

Le Vieux Terrebonne

Après souper, promenade dans le Parc du Vieux Terrebonne.














dimanche 15 mars 2009

Caméra de surveillance

Bon, d'accord, ce n'est pas chez moi, mais avec des caméras de surveillance, on peut s'attendre à des surprises de ce genre :


vendredi 13 mars 2009

Commentaire

Madame Nancy, la responsable de l'école Saint-Joseph, m'a parlé d'un projet où les jeunes doivent me laisser un commentaire sur le blogue. Je propose donc la présente entrée pour vous inviter à m'écrire un mot.

Les copains, il vous suffit de cliquer sur le lien "commentaires" sur la ligne ci-dessous. J'ai hâte de vous lire.
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Le costaud

Hier, je me suis tellement épivardé avec les maternelles et les premières années de l'école Saint-Joseph que, ce matin, j'avais la gorge complètement enrouée. J'avais de la misère à parler et j'ai dû m'excuser auprès des 6e année. J'ai dit qu'il était possible que je perde la voix avant la fin de la rencontre.

Finalement, je suis tellement costaud que tout est revenu dans l'ordre dès le second atelier. Au troisième, je pouvais recommencer à cabotiner avec les 3e, 4e et 5e années. On a eu pas mal de fun.
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jeudi 12 mars 2009

SAINT-PAMPHILE

Pour deux jours, je suis à l'école primaire Saint-Joseph de Saint-Pamphile. C'est le village voisin de chez moi. Ce matin, je rencontrais le pré-scolaire ainsi que les 1re et 2e années.

Les petits de la maternelle m'ont encore fourni une sacré occasion pour rigoler.

Comme d'habitude, les jeunes levaient la main, non pas pour poser des questions, mais pour me faire part de leurs commentaires, genre : "Moi, mon papy travaille dans une imprimerie", "Moi, ma maman aime lire", etc., etc.

Je leur fait remarquer que si tout le monde y va de son commentaire, on va manquer de temps. Je précise donc que lorsqu'ils lèvent la main c'est pour une question et une question, ça commence par pourquoi, est-ce que, combien, comment, etc.

Un petit garçon, certain d'avoir bien compris mon intervention, demande la parole.

— Oui, toi. Quelle est ta question ?

— Pourquoi ?

Et il attend.

Les jeunes sont suspendus à mes lèvres, sérieux. Les profs, elles, sont derrière la classe et se tordent de rire. Que voulez-vous que je réponde sinon :

— Parce que !
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mercredi 11 mars 2009

L'AUBIER

Aujourd'hui, je rencontrais 3 groupes de français de première secondaire de la polyvalente L'Aubier de Saint-Romuald. Les deux premiers groupes étaient un peu intimidés, mais le troisième a bien embarqué dans la discussion.

L'Aubier est sans doute la polyvalente la plus fidèle à mes ateliers dans les dernières années. Le professeur responsable de ma venue, le dynamique Bruno d'Anjou, m'invite bon an mal an depuis au moins 2004.

Avec le temps, lui et moi, on est devenu complices et on a notre petit dîner annuel (en tête à tête, full romantique) dans le bureau de la bibliothèque. On rigole bien. Cette année, nos potins ne portaient pas sur les bobos de la cinquantaine, car tous les deux, nous étions en pleine forme. Va falloir qu'on se fasse mal quelque part dans les prochains mois pour avoir des trucs palpitants à se conter l'an prochain.

Merci encore, Bruno, et merci à tous les sympathiques ados avec qui j'ai échangé, aujourd'hui. (À la prochaine, Maude !)
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mardi 10 mars 2009

D'un blanc feuillage



(photographic.com.ua)

dimanche 8 mars 2009

Oh ! Salut !


samedi 7 mars 2009

Écosociété, toujours poursuivie

Bâtons dans les roues pour Écosociété

Les éditions Écosociété sont toujours victimes de deux poursuites-baîllons. Rappelons que la société aurifère Barrick Gold a intenté, au printemps dernier, un procès contre la maison d’édition québécoise concernant les propos tenus par Alain Deneault dans Noir Canada. Le 11 juin 2008, c’était au tour de Banro Corporation de déposer une poursuite de 5 millions $, mais cette fois, en Ontario.

Les éditions Écosociété contestaient le jeudi 5 mars la décision de la Cour supérieure de Justice de l’Ontario, celle de refuser leur requête quant au rapatriement au Québec de la poursuite de Banro, en plaidant en leur faveur la liberté d’expression. Les motifs invoqués sont les déplacements réguliers vers Toronto, alors que toute l’équipe est basée à Montréal, qui impliquent des coûts et une logistique qu'ils ne peuvent assumer. Pour le moment, Écosociété et les auteurs impliqués espèrent que la Cour d’appel entendra leur requête et favorisera la liberté d’expression ainsi que la survie de la maison d’édition.

(source : Journal Le Libraire : http://www.lelibraire.org/detail_actualites.asp#1957)

vendredi 6 mars 2009

Notre eau potable











mercredi 4 mars 2009

Prix littéraires de la Ville de Québec

Bravo à mes deux amis Jacques Côté et Martine Latulippe pour leur nomination comme finalistes aux Prix littéraires de la Ville de Québec. En plus, Martine est sélectionnée pour deux titres. Non mais, elle l'as-tu l'affaire ?

Les finalistes sont…

Dans la catégorie Littérature adulte, le lauréat du Prix de création littéraire recevra une bourse de 5 000 $. Les trois œuvres finalistes pour ce prix sont :

- Le Chemin des brumes de Jacques Côté, Éditions Alire
- Enthéos de Julie Gravel-Richard, Éditions du Septentrion
- Le jugement de Hans-Jürgen Greif, Éditions L’instant même

Une bourse de 5 000 $ sera également attribuée au lauréat du Prix de création littéraire, dans la catégorie Littérature jeunesse. Les œuvres finalistes sont :

- Chapeau, Marie-P ! de Martine Latulippe, Éditions FouLire
- Lorian Loubier-Vive les mariés ! de Martine Latulippe, Dominique et compagnie
- Monsieur Édouard et Mademoiselle Jasmine  de Lyne Vanier, Éditions Pierre Tisseyre

La remise des prix de création littéraire aura lieu le mardi 7 avril prochain à l’hôtel de ville de Québec.

Pour oublier la mort

« Qu'est-ce que l'Homme ? Un être qui sait qu'il va mourir et qui a besoin de se raconter des histoires. Se raconter des histoires pour supporter cette idée insupportable de la finitude, pour conjurer la nécessité inéluctable de la mort.

Se raconter des histoires pour se rapprocher de ses semblables, se réchauffer de leurs paroles, former avec eux une humanité. »

Jean-Claude Barreau
et Guillaume Bigot
Toute l'Histoire du monde
Fayard, 2005

mardi 3 mars 2009

Vivre sa passion

Comme je l'ai écrit plus tôt à mon amie l'auteure Andrée Poulin, j'ai terminé l'écriture du texte destiné au projet de (mon autre ami) Jean Paquin. (Voir l'entrée du 15 février.)

Ma participation s'intitule : La Guerre d'Émond. Le recueil d'histoires, quant à lui, s'intitulera Vivre sa passion. J'ai écrit mon texte en dépit d'un vilain rhume, de près de 39° de fièvre, et en moins de deux jours. C'est pas vivre sa passion, ça ?

Voici un bref extrait :

— Et Maxime Bissonnette sera jumelé à...

« Pourvu que ce soit la belle Sarah ! Pourvu que ce soit la belle Sarah ! »

Je croise les doigts sur le pupitre. Madame Caroline, notre institutrice, tire un bout de papier de la boîte en carton. Tous les noms des élèves s'y trouvent.

— ... sera jumelé à Alain Émond !

Noooon !

J'entends le grognement bestial d'Émond au fond de la classe. Il est aussi déçu que moi. Après tout, qu'avons-nous à partager lui et moi ? Rien. Nada. Niet. Pas l'ombre d'une molécule de point commun.

— Madame ! proteste la voix d'Émond. Ma passion, c'est le hockey. Comment voulez-vous que je partage ce qui me plaît le plus au monde avec un cornichon comme Maxime ? Il ne sait même pas patiner !

Je ne laisse pas le temps à notre professeur de répliquer. Sans même lever la main, je lance :

— Pour une fois, madame, je suis d'accord avec Émond Cromagnon.

La classe éclate de rire. Pas madame Caroline. Elle dépose la boîte sur son bureau, place les poings sur les hanches, prend cette grosse voix des grandes occasions et tranche :

— Eh bien, justement ! Notre activité spéciale ne s'appelle pas « Partage ta passion » pour rien. Elle sert à faire découvrir une nouvelle activité à un camarade du groupe. Et tant mieux si le hasard a lié Alain et Maxime. Leurs passions différentes les enrichiront l'un et l'autre !

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lundi 2 mars 2009

Comme chez Pinso

Il y a un peu de l'univers de mon personnage Pinso dans ces montages photos de l'agence Magnus.