Voici la bande d'auteurs malcommodes avec qui j'ai passé l'un de mes plus mémorables moments au party traditionnel du samedi soir du
Salon du livre du Saguenay Lac-Saint-Jean.
Alain M. Bergeron, qui n'a plus besoin de présentation, 150 romans à son actif (c'est son poids en livres dans tous les sens du terme), l'un des gars les plus chics que je connaisse, un très grand ami. Si vous distinguez mal ses yeux, c'est qu'il a des lunettes qui suent.
Maude Royer, une nouvelle connaissance, auteure de la série à succès "
Les Premiers magiciens" chez l'un de mes éditeurs les plus dynamiques,
Hurtubise. Je préciserais bien que, de plus, elle est jolie, mais ça rend Alain M. Bergeron jaloux, car lui, je dis seulement qu'il est fin.
Martine Latulippe, la plus gentille, la plus sage, la plus "convoitée des auteures jeunesse de l'heure" (
dixit le journal
Le Libraire. Notez que j'ai mis "auteure" au féminin.) Martiiiiine, je vous parle souvent d'elle, alors, pour ne pas faire plus d'ombrage à Alain M. Bergeron, je n'en dis pas plus.
Carole Tremblay, une autre amie de longue date, drôle comme c'est pas permis, sympathique, charmante, très propre sur sa personne, et j'ai des tas de qualificatifs en réserve pour elle, car, en plus d'être une auteure à succès et une écrivaine qui mérite le Prix Nobel, c'est ma dirlitt chez Bayard, et j'ai intérêt à en faire l'éloge.
Marthe Pelletier, avec Sonia K. Laflamme, est la seule auteure dont je peux me vanter avoir fait la connaissance à Paris. Ç'a l'air de rien comme ça, mais ça fait "class". Marthe sait très bien sauter par-dessus des fauteuils, frapper un auteur, courir, s'asseoir, sauter, s'asseoir, sauter, frapper un auteur, s'asseoir, sauter, frapper un auteur, s'asseoir, sauter, s'asseoir, sauter, frapper un auteur, s'asseoir, sauter et, finalement, frapper un auteur. Elle n'est pas étrangère à la douleur intense qui s'est installée en permanence dans mes zygomatiques (ceux qui ignorent à quoi servent ces muscles, avant de laisser des drôle d'images se former dans votre tête, consultez le dictionnaire, SVP).
Édith Bourget, poétesse, romancière et même néobrunswickoise (ce qui n'est pas un défaut, à la rigueur, reconsultez votre dictionnaire), a été une compagne des plus agréables avec sa bonne humeur et son rire communicatif. J'en voulions plein des comme elle.
Absents sur la photo :
Robert Soulières (couché tôt),
Jacques Côté (parti tôt),
Agnès Grimaud (aucune idée où elle était allée),
Sylvie Marcoux (arrivée tard) et moi-même (évidemment, puisque c'est moi qui pèse sur le piton).