Dans le dernier mois, stationné face au fleuve, j'ai pondu 30.000 mots, sans compter les corrections pour Un Massacre magnifique. On est loin d'un record, mais je n'ai pas perdu mon temps.
J'ai écrit un court récit pour un album d'information sur les montgolfières. J'ai écrit un roman qui s'appelle L'Après-Monde, et j'ai écrit le premier tome de ma nouvelle série Flibustiers du Nouveau-Monde (Le Trésor de l'esclave).
Qu'a-t-il de particulier, celui-là ? Eh bien, il s'agit de mon 50e titre, pardi ! Voui, mes amis ! Sortons les tambours, boum-badaboum ! (Et encore, en tenant compte que Le Rôdeur du lac est un texte complètement remanié [d'un roman précédent, Absence], il s'agirait plutôt de mon 51e !!!)
Enfin. Maintenant qu'on se prépare à reprendre la route, je m'attaque à un neuvième roman de la série Les Voyages de Nicolas.
Y en a-t-il encore pour dire que je me contente de me la couler douce ? Hmm ?
J'ai écrit un court récit pour un album d'information sur les montgolfières. J'ai écrit un roman qui s'appelle L'Après-Monde, et j'ai écrit le premier tome de ma nouvelle série Flibustiers du Nouveau-Monde (Le Trésor de l'esclave).
Qu'a-t-il de particulier, celui-là ? Eh bien, il s'agit de mon 50e titre, pardi ! Voui, mes amis ! Sortons les tambours, boum-badaboum ! (Et encore, en tenant compte que Le Rôdeur du lac est un texte complètement remanié [d'un roman précédent, Absence], il s'agirait plutôt de mon 51e !!!)
Enfin. Maintenant qu'on se prépare à reprendre la route, je m'attaque à un neuvième roman de la série Les Voyages de Nicolas.
Y en a-t-il encore pour dire que je me contente de me la couler douce ? Hmm ?