lundi 31 octobre 2011

Ma plus grande lectrice

Selon July Duchesne-Doucet elle-même, elle serait ma plus grand lectrice. Je veux bien la croire sur parole. Elle m'a envoyé cette charmante photo prise au Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean, le 1er octobre dernier.


July est aussi apprentie-écrivaine et son premier manuscrit attend déjà sur les bureaux des éditeurs. Croisons les doigts pour elle.

vendredi 28 octobre 2011

Sur la Côte-Nord

Un article très flatteur paru dans le journal Plein-Jour de Baie-Comeau, Côte-Nord, ma région natale. J'en profite pour saluer tout mon monde là-bas.



Vous pouvez cliquer sur l'image pour voir en grand format ou cliquer ici pour lire le journal virtuel.

jeudi 27 octobre 2011

Sophie Lit a lu

L'infatigable et «liseusaolique» Sophie du site Sophie Lit a lu «À bord de l'Ouragan, tome 1, Le Trésor perdu». Elle en dit plein de jolies choses que vous pouvez consulter en cliquant sur l'image ci-bas.



Et si vous ne connaissez pas encore cet excellent blogue consacré à la littérature, je vous invite à en profiter pour y naviguer (vu qu'on parle de pirates, c'est de circonstances) et de vous régaler de la tonne d'informations qu'on y trouve. D'ailleurs, la semaine dernière, il y avait un concours pour les jeunes axé sur la collection Zèbre de Bayard Jeunesse où, incidemment, se retrouve mon récent L'Après-Monde.

mardi 25 octobre 2011

Selon Yann Martel

Yann Martel : « Il faut écrire par pur plaisir et surtout, ne pas le faire dans le seul espoir d'acquérir gloire et notoriété. »

Je connais des collègues qui pensent le contraire. Forcément, ils sont frus.

Tant pis pour eux.

jeudi 20 octobre 2011

Tintin : j'ai hââââte !

mercredi 19 octobre 2011

Avec les cheveux bleus...

Bon, moi, les enfants ne capotent pas encore comme ça quand ils me voient en personne, mais peut-être que si je me teignais les cheveux en bleu...

mardi 18 octobre 2011

Autre souvenir du SLSLSJ

Moi-même en compagnie d'Agnès Grimaud (au centre) et de Sylvie Louis (à droite), au stand de Dominique et Compagnie (Héritage Jeunesse) au Salon du livre du Saguenay/Lac-Saint-Jean.


(Photo Diane Lecompte)

lundi 17 octobre 2011

L'histoire à relais

Vous vous rappelez l'histoire à relais appelée... Histoire à relais, dont j'avais la responsabilité de créer et lire le deuxième volet à Radio-Canada ?

Pour ceux qui veulent écouter le texte : cliquez ici.

Pour ceux qui veulent télécharger le texte : cliquer ici.

Pour ceux qui préfèrent ne rien faire : cliquez ici.

samedi 15 octobre 2011

Souvenir d'Ottawa

Un souvenir offert par les élèves après mon passage à Ottawa : un pot de petits bonbons pour soulager ma gorge d'avoir placoté pendant une heure. Trop mignon.





jeudi 13 octobre 2011

Bande-annonce de L'Après-Monde

La pub de Bayard Canada pour mon roman L'Après-Monde publié dans leur collection "Zèbre". Wouuuhouuuu !

mardi 11 octobre 2011

Un GG magnifique

Eh bien, mes amis lecteurs, sortez le porto (et la limonade pour les moins de 18 ans), car je me retrouve pour la 3e fois de ma vie finaliste au plus prestigieux prix littéraire canadien : Les Prix littéraires du Gouverneur-Général.

Mon titre en lice, dans la catégorie Jeunesse - Texte, est : Un massacre magnifique.

Vous pouvez retrouver mes collègues finalistes sur le site du Conseil des Arts du Canada en cliquant sur l'image ci-dessous.


La Classe de madame Caroline

Petite photo sympathique envoyée par la gentille Isabelle Larouche : séance de signatures de 5 des 11 auteurs du collectif La Classe de madame Caroline lors du dernier Salon de livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

(Bouton droit et "Afficher l'image" pour voir en plus grand format.)

dimanche 9 octobre 2011

Anecdote de Salon - suite

En repensant à l'anecdote impliquant Emmy et Sandra, je crois comprendre la perception qu'elles avaient des personnes devant qui elles se trouvaient.

Je vous ai conté, il y a quelque temps, le plaisir que j'ai eu à rencontrer monsieur Denis Vaugeois dont j'ai lu plusieurs œuvres (d'ailleurs, son superbe "La Mesure d'un continent" trône à la place d'honneur dans mon palmarès des plus beaux livres que je possède). Dans le fond, quand monsieur Vaugeois m'a offert de venir prendre un café avec lui, qu'il a partagé avec moi ses impressions d'historien, je me sentais comme Emmy et Sandra : terriblement intimidé et terriblement privilégié.

C'est que, dans des circonstances de ce genre, on n'a pas seulement l'impression de se trouver devant une personne, on a l'impression de côtoyer l'aspect vivant d'une œuvre immatérielle qui nous a fait grandir.


vendredi 7 octobre 2011

Anecdote de Salon

Je suis en train de jaser avec mon amie Martine Latulippe au petit salon à l'entrée de l'hôtel où a lieu le Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Arrive Mireille qui travaille au stand de Dominique et Compagnie et qui me demande si je voulais bien la suivre dans la salle où se déroule le Salon, car un petit garçon est déçu d'être arrivé en dehors de mes heures de signatures. Je m'excuse auprès de Martine et je m'empresse de suivre Mireille.

Tandis que je suis à signer les livres du petit garçon, je me fais aborder par deux jeunes filles de 13-14 ans.

— Hé, Camille Bouchard ! C'est moi, Emmy (nom fictif) qui vous écris souvent pour des conseils d'écriture. Voici mon amie Sandra (autre nom fictif).

Je suis content de rencontrer cette lectrice avec qui, en effet, j'ai échangé quelques courriels. Elle me demande tout à coup:

— Savez-vous si Martine Latulippe est dans les parages?
— Justement, je suis avec elle au petit salon du lobby. Voulez-vous me suivre? Je vais vous conduire à elle.

Les deux adolescentes ne se laissent pas prier et m'emboitent le pas. Pendant que nous traversons les longs passages séparant le centre des congrès de l'hôtel, j'entends Sandra dire à Emmy:

— Incroyable ! Nous allons rencontrer Martine Latulippe, escortées par... Camille Bouchard ! Quel privilège !

Je suis une grosse moumoune, vous le savez, j'ai eu presque les larmes aux yeux de cette charmante naïveté. Je me suis arrêté et j'ai répliqué:

— Non, les filles. Les privilégiés, ce sont Martine et moi. Rencontrer des lectrices enthousiastes comme vous, c'est ça qui justifie tous les efforts que nous investissons dans notre métier. Merci à vous deux d'avoir pris le temps de venir nous rencontrer et de nous faire part de votre plaisir à lire nos histoires.

Martine et moi avons jasé un long moment avec ces deux jeunes filles. À un certain moment, Michèle Marineau, François Gravel, Édith Bourget et Robert Soulières (si je me rappelle bien) se sont aussi joints à la conversation. Pour les adolescentes, je sais que ça aura été le point culminant de leur salon.

En tout cas, ç'a été le mien.


mercredi 5 octobre 2011

Party d'auteurs

Voici la bande d'auteurs malcommodes avec qui j'ai passé l'un de mes plus mémorables moments au party traditionnel du samedi soir du Salon du livre du Saguenay Lac-Saint-Jean.


Alain M. Bergeron, qui n'a plus besoin de présentation, 150 romans à son actif (c'est son poids en livres dans tous les sens du terme), l'un des gars les plus chics que je connaisse, un très grand ami. Si vous distinguez mal ses yeux, c'est qu'il a des lunettes qui suent. 

Maude Royer, une nouvelle connaissance, auteure de la série à succès "Les Premiers magiciens" chez l'un de mes éditeurs les plus dynamiques, Hurtubise. Je préciserais bien que, de plus, elle est jolie, mais ça rend Alain M. Bergeron jaloux, car lui, je dis seulement qu'il est fin.

Martine Latulippe
, la plus gentille, la plus sage, la plus "convoitée des auteures jeunesse de l'heure" (dixit le journal Le Libraire. Notez que j'ai mis "auteure" au féminin.) Martiiiiine, je vous parle souvent d'elle, alors, pour ne pas faire plus d'ombrage à Alain M. Bergeron, je n'en dis pas plus. 

Carole Tremblay, une autre amie de longue date, drôle comme c'est pas permis, sympathique, charmante, très propre sur sa personne, et j'ai des tas de qualificatifs en réserve pour elle, car, en plus d'être une auteure à succès et une écrivaine qui mérite le Prix Nobel, c'est ma dirlitt chez Bayard, et j'ai intérêt à en faire l'éloge.

Marthe Pelletier, avec Sonia K. Laflamme, est la seule auteure dont je peux me vanter avoir fait la connaissance à Paris. Ç'a l'air de rien comme ça, mais ça fait "class". Marthe sait très bien sauter par-dessus des fauteuils, frapper un auteur, courir, s'asseoir, sauter, s'asseoir, sauter, frapper un auteur, s'asseoir, sauter, frapper un auteur, s'asseoir, sauter, s'asseoir, sauter, frapper un auteur, s'asseoir, sauter et, finalement, frapper un auteur. Elle n'est pas étrangère à la douleur intense qui s'est installée en permanence dans mes zygomatiques (ceux qui ignorent à quoi servent ces muscles, avant de laisser des drôle d'images se former dans votre tête, consultez le dictionnaire, SVP).

Édith Bourget
, poétesse, romancière et même néobrunswickoise (ce qui n'est pas un défaut, à la rigueur, reconsultez votre dictionnaire), a été une compagne des plus agréables avec sa bonne humeur et son rire communicatif. J'en voulions plein des comme elle.

Absents sur la photo : Robert Soulières (couché tôt), Jacques Côté (parti tôt), Agnès Grimaud (aucune idée où elle était allée), Sylvie Marcoux (arrivée tard) et moi-même (évidemment, puisque c'est moi qui pèse sur le piton).

dimanche 2 octobre 2011

Palmier étonné