vendredi 31 octobre 2008

Une place exotique

Je suis en écriture intensive, cette semaine, pour prendre un petit peu d'avance, car la semaine prochaine, je pars pour la tournée Lire à tout vent et pour le Salon du livre de Rimouski.

Quelle destination exotique ai-je demandé et m'a-t-on offerte chez Communication Jeunesse dans le cadre de la tournée ? Vancouver ? St. John's ? Saskatoon ? voire Yellowknife ? Non.

Pohénégamook !

Si, si. À quelques kilomètres à peine de chez moi (à vol d'oiseau, mais par la route, c'est 2 heures). Pourquoi si près ? Suis-je devenu pantouflard ? Moumoune ? Meuh non ! Simplement parce que j'avais déjà promis de me rendre à Rimouski - qui n'est pas si loin - et que je me mourrais de voir ce coin du Québec que je ne connais pas encore. C'est tout.

Je vous donnerai mes impressions de la région dès lundi soir prochain.

jeudi 30 octobre 2008

La crise économique

... frappe aussi l'Angleterre.



Elle, on peut rire d'elle.

mardi 28 octobre 2008

C'est ça aussi

C'est ça aussi, l'Afrique :



Ils me font rire.

(Cliquez sur l'image pour la voir en grand format.)

lundi 27 octobre 2008

Plein-Jour en Haute-Côte-Nord

Encore finaliste à un prix prestigieux

Paul Pygeon
Faits divers

L'écrivain Camille Bouchard, originaire de Forestville, est encore une fois candidat au Prix littéraire du Gouverneur général du Canada, catégorie Littérature jeunesse – texte. Cette fois-ci, c'est son roman «Trente-neuf», une adapdation du premier voyage de Christophe Colomb en Amérique qui a été primé. L'auteur se dit très fier de figurer sur la liste des finalistes puisqu'il a beaucoup de respect et d'admiration pour les quatre autres écrivains en lice. Le choix final sera connu le 18 novembre.


Le Peuple Côte-Sud

Un résident de la Côte-du-Sud finaliste des Prix littéraires du Gouverneur général

Diane Gendron
23 octobre 2008


La Côte-du-Sud peut à nouveau se vanter d'abriter en son sein un auteur reconnu. Camille Bouchard, résident de Saint-Marcel, fait partie en effet des finalistes des Prix littéraires du Gouverneur général de 2008. L'écrivain est en lice dans la catégorie «Littérature jeunesse - texte» pour son roman intitulé Trente-neuf.

Ce livre fait vivre intensément les premières heures de la colonisation des Amériques par les Espagnols à travers les témoignages, en alternance, d'un mousse espagnol et d'un jeune Amérindien. Un roman que l'on qualifie de bouleversant et qui jette une lumière fascinante sur cette période historique.

Quant à l'auteur Camille Bouchard, il est né à Forestville, a habité la Côte-Nord et la région de Québec avant de s'établir en campagne, à Saint-Marcel. L'auteur a voyagé à travers le monde, vivant l'aventure avec un grand A. Ses pérégrinations lui ont sans doute fourni matière à écrire. Auteur d'une quarantaine de romans, Camille Bouchard vit de sa plume. Il écrit des livres pour adolescents, des contes pour enfants, mais aussi des textes grand public, dont un polar paru en 1998.

Cette année, 1 469 ouvrages étaient en lice pour les Prix littéraires du Gouverneur général. Le jury a retenu 73 finalistes. Les noms des lauréats seront dévoilés le 18 novembre prochain, à Montréal.


samedi 25 octobre 2008

Petite planète

L'autre soir, je regardais le film La Citadelle assiégée, une docu-fiction sur les termites et les fourmis. Tout à coup, mon coeur s'arrête ! Je connaissais ce coin où se trouvait la termitière... en Afrique ! Je le jure, craché par terre, si je mens, je vais en enfer !

C'était au lieu dit Pics de Sindou en région Sénoufo, Burkina Faso, Afrique de l'Ouest. J'ai même reconnu une cascade où je me suis déjà baigné (avec deux burkinabés qui riaient de mes fesses blanches). Je capotais ! J'ai regardé le générique à la fin et.... bingo ! « Tourné près de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso ».

Notre planète est bien petite.

vendredi 24 octobre 2008

À cause du GG

Excusez-moi, de négliger ce blogue, mais je suis encore à sauter partout dans la maison.

Je vous reviens bientôt.

mardi 21 octobre 2008

Encore finaliste au GG !

Eh bien oui, les amis ! Pour la deuxième fois de ma vie, je suis finaliste au plus prestigieux prix littéraire du Canada, celui qu'on nomme affectueusement le GG (Prix littéraires du Gouverneur général), catégorie Littérature jeunesse – texte.

Le roman en lice est Trente-Neuf, mon adaptation du premier voyage de Christophe Colomb en Amérique et du récit des 39 hommes abandonnés sur l'île Hispanola (Haïti et République Dominicaine) en 1493. (Vous trouverez les détails de ce titre en cliquant ici.)

Voici ce qu'en dit le jury :

Un roman qui nous fait vivre intensément les premières heures de la colonisation des Amériques par les Espagnols. Un poignant récit à deux voix, la confrontation de deux mondes : celle d’un mousse espagnol et celle d’un jeune Amérindien. Ce roman d’une grande véracité historique, bouleversant, jette une lumière fascinante sur cette période historique.


Je connais les quatre autres auteurs finalistes dans ma catégorie et je peux vous dire que je me sens drôlement flatté de retrouver mon nom avec le leur. Rien que d'être considéré à leur niveau, c'est ma plus grande victoire. Les copains et copines finalistes, aujourd'hui, je bois à cet événement heureux (même si je n'ai que du vin de dépanneur sous la main).

Bravo donc à :

Sylvie Desrosiers, pour son roman Les trois lieues
Charlotte Gingras, pour son roman Ophélie
François Gravel, pour son roman Sales crapauds
et Carole Tremblay, pour son roman Fred Poulet enquête sur une chaussette.

dimanche 19 octobre 2008

Les extrêmes

Tandis que je mangeais mon petit souper solitaire (d'ailleurs assez mauvais, merci ; je suis un cancre en cuisine), que je buvais mon petit verre de vin de dépanneur, en attendant de me décider à manger mon dessert (aussi immangeable que le plat principal), je me disais que mon métier me pousse vraiment à vivre deux extrêmes.

Extrême no. 1.- Puisque ma blonde travaille à l'extérieur, je suis souvent seul pendant sept, voire dix jours, sans rencontrer ni parler à personne, si ce n'est l'employée de Postes Canada que je croise parfois quand je vais chercher mon courrier, et la caissière de la petite épicerie de Saint-Marcel quand je manque de lait.

Extrême no. 2.- Ensuite, pendant les ateliers scolaires ou les Salons du livre, à l'inverse, je rencontre et parle avec cent personnes par jour ! Par jour ! Y a de quoi avoir l'air un peu déconnecté quand les gens essaient d'établir une conversion anodine avec moi.

Finalement, cet air imbécile que je me reproche souvent s'explique : de semaine en semaine, à passer d'un extrême à l'autre, je ne m'habitue jamais tout à fait ni à l'un ni à l'autre et, dans les deux cas, j'ai toujours une mine un peu perdue.

Surtout que, pendant mes longues heures d'écriture, je m'imagine vivre 450 ans dans le passé...

Ce soir, pour me changer les idées, je vais poursuivre la lecture de Le Vide de Patrick Sénécal. Vous l'avez lu? Ça vous replonge quelqu'un dans l'actualité d'aplomb, pas vrai ?


Pirates IV (Extrait 3)

— On leur coupe la langue? suggéra le Jésuite, mais avec plus d'ironie que d'intentions véritables.

— Ce Nazareno me donne une idée, rétorqua Cape-Rouge en estimant la mine coquebine de l'Espagnol. Puis, baissant davantage le ton comme s'il craignait être ouï par quelque captif entendant le français, il ordonna: Bâillonnez les six hommes ; qu'ils ne puissent émettre le moindre cri, surtout.

Nous nous exécutâmes sous les yeux arrondis des prisonniers qui se morfondaient de nos intentions. Deux ou trois réclamèrent pitié, mais à voix basse afin de ne point nous irriter. Je m'ébaudissais de leur angoisse, cherchant à cintrer mon sourire dans un rictus mauvais. Que le lecteur ne me juge point si cruel ni malveillant. J'étais à cet âge où l'on calque encore les traits grossiers de son caractère à ceux des adultes qu'on tient en grand honneur. Mes parangons étaient des pirates qui n'exprimaient aucune pitié envers ceux qu'ils avaient rangés dans le clan des ennemis. Je parfaisais mon être à leur image ; j'osais tout ce qu'on exigeait de moi pour qu'on me considérât, non plus fadrin, mais un homme accompli.

— Poignardez-les ! ordonna Cape-Rouge.
Extrait de
P I R A T E S    I V
Les Armes du vice-roi
(Parution, automne 2009)

vendredi 17 octobre 2008

La Statue (Brel)

J'adore Brel, je vous l'ai déjà dit, non ? Mais si. Vous n'écoutez pas, c'est tout.

Enfin. Voici l'un des couplets qui font que j'adore Brel :

J'aimerais tenir l'enfant de carême
Qui a fait graver sous ma statue :
« Les dieux rappellent ceux qu'ils aiment
Et c'était lui qu'ils aimaient l'plus ».

Moi qui n'ai jamais prié Dieu
Que lorsque j'avais mal aux dents.
Moi qui n'ai jamais prié Dieu
Que quand j'ai eu peur de Satan.

Irrévérencieux à souhait.

J'adore Brel, je vous l'ai déjà dit ?


mercredi 15 octobre 2008

Festival du roman historique

J'arrive de Saint-Hyacinthe où je participais au Festival du roman historique avec mon titre Le Sentier des sacrifices, un roman axé sur la conquête de l'empire inca par les Espagnols au XVIe siècle.

Même si les deux rencontres se sont très bien passées et que Marie-Ève, la bibliothécaire, est très sympathique, je reviens un tantinet déçu. Quelqu'un quelque part a mal fait son travail. Le Sentier des sacrifices s'adresse à de très bons lecteurs de 14 ans et plus et je devais discuter avec des adolescents de deuxième cycle du secondaire. Or, je me suis retrouvé avec une classe de première secondaire et un groupe de 4e et 5e années du primaire. Je ne pouvais donc plus donner l'atelier que j'avais prévu.

C'était surtout plate pour les jeunes, car je n'avais pas apporté le matériel de promotion que je leur offre habituellement et il m'a fallu improviser les rencontres en essayant de mettre l'accent sur l'empire inca, alors que je n'ai pas de titres pour eux sur ce sujet. Enfin. Ça arrive de temps en temps de petits accrocs comme ça.

C'est quand même moins pire que si on retrouvait... je ne sais pas, moi... avec un gouvernement conservateur majoritaire à Ottawa, mettons.




lundi 13 octobre 2008

Martine chez les Cowboys

Mon amie Martine Latulippe m'a envoyé ce petit mot. C'est personnel à tous ses amis. Comme les amis de nos amis sont nos amis, je transmets le mot à tous mes amis.

Un mot pour vous informer que je suis invitée à une table ronde à l'émission Vous m'en lirez tant, à la radio de Radio-Canada (106,3), dimanche prochain, le 19 octobre. L'émission passe de 14h à 16h, mais je passerai entre 15h et 16h. L'émission est enregistrée à Calgary, où je m'envole demain pour le reste de la semaine.


Eh bien, bonne semaine chez les cowboys, Martine ! On va t'écouter. Hi-Haaa !

dimanche 12 octobre 2008

Promenade dominicale

Sentiers du Lac Carré, Parc des Appalaches, 15 km de chez nous.

























samedi 11 octobre 2008

Une petite croisière ?

Une petite croisière, ça vous dirait ?



Imaginez quand c'était du temps des premières explorations sur les voiliers d'époque. Moi, j'ai le mal de mer rien qu'à voir la vidéo.

vendredi 10 octobre 2008

Crépuscule

Toujours pour mes fidèles lectrices Claudette et Sylvie, afin qu'elles se rassurent : la série Pirates n'est pas que violence ; elle affiche aussi quelques envolées poétiques.

La boule incandescente du soleil fondait à mesure qu'elle touchait l'horizon et se répandait sur la mer ainsi que des ramilles d'or. Fouetté par les chacones des pailles-en-queue et des albatros, le ciel terminait d'écharper des nuages chétifs, aux ambitions improbables, qui convoitaient couvrir la serpe argentine de la lune ; mais déjà, la nuée s'effilochait pareille à la soie coupée de sa quenouille. Les étoiles, encore invisibles, crèveraient dans peu la voûte céleste, et si on savait prêter l'oreille, on les pouvait déjà ouïr, vagissantes, dans la matrice enflammée du firmament.

Extrait de
P I R A T E S    I V
Les Armes du vice-roi
(Parution, automne 2009)

jeudi 9 octobre 2008

La vie en rouge

Soulières Éditeur vient de publier ce très beau roman d'un écrivain burkinabé, Vincent Ouattara : La vie en rouge.



C'est l'auteure Josée Pelletier qui m'en a d'abord parlé et j'étais intrigué par ce texte qui avait impressionné mon ami Robert. Lui-même, d'ailleurs, avait reçu le manuscrit par l'entremise de Josée dont le frère qui travaille à Ouagadougou au Burkina Faso est une connaissance de l'auteur Ouattara (vous me suivez toujours ? Non ? C'est pas grave.) Le roman, donc, a tant plu à Robert que celui-ci a décidé de le publier en dépit du fait qu'il n'était pas éligible aux subventions, l'auteur n'étant pas canadien.

Je vous le dis : j'ai beaucoup aimé. Je n'en reviens pas qu'un texte du genre soit écrit par un homme, tant il y décrit avec justesse la femme africaine. De la part de ce Ouattara, c'est faire preuve d'un empathie extraordinaire. Le roman raconte une histoire d'amour comme il y en un milliard, mais avec une naïveté telle qu'on a l'impression de se la faire raconter pour la première fois.

Un gros gros coup de coeur.


mercredi 8 octobre 2008

Les feuilles mortes...

Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Tu vois je n'ai pas oublié.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
les souvenirs et les regrets aussi.
(Yves Montand, Les Feuilles mortes)

Bon, d'accord, ce n'est pas du Brel, mais c'est mon côté kétaine. C'est la chanson qui me trottait dans la tête pendant ma promenade dans l'érablière au bout du champ.











mardi 7 octobre 2008

Choisir un livre ?

Michael Cunningham, écrivain américain, a dit :
Si je me laisse guider par le hasard, c'est pour me rappeler que l'écriture reste une très vaste entreprise, et que, si vous vous limitez à un petit groupe de livres dits "sérieux", vous risquez de rater une part importante de la vie du monde.

(Merci à mon ami Rémy, un gars cultivé qui lit tout tout tout tout, et qui m'a offert la citation.)


lundi 6 octobre 2008

Ebgugez-boi

Ebgugez-boi si j'égris gobe ça auHoud'hui, bais j'ahive de gez le dentijde et j'ai engowe la bouge gelée.

Ben oui, j'ahais une gahie, mais là, j'en ai blus.

Bonne joihée à dous.

dimanche 5 octobre 2008

Ruban

Le ruban de bitume qui mène à mon village, direction Ouest.



samedi 4 octobre 2008

Encre

Encre.

Sang noir du savoir, magie qui transmet la pensée, qui retient l'Histoire jusqu'à ce qu'un regard daigne en absorber l'enseignement. Prodige du mot muet qui se transmet, non point de bouche à oreille, mais de main à regard. Charroi de connaissances, rivière de sciences.

Encre.

Lionel l'a fabriquée lui-même, avec du bois d'épine écorcé qu'il a laissé tremper huit jours dans l'eau. Comme à l'époque, comme il y a un demi-siècle quand il bourlinguait sur les eaux du Pérou et qu'il apprenait à écrire. Masqué par la densité de sa barbe, un rictus triste lui tient lieu de sourire tandis qu'il se ressouvient de l'adolescent qu'il était alors : arrogant, certes, voire méprisant, curieux surtout, désireux de se faire accepter par cette gent adulte avec qui il évoluait. Dans un chaudron dont Robert, le coq — c'est à dire le cuisinier de bord —, se servait en général pour cuire des aliments, il chauffait la mixture en rajoutant de temps en temps, des bouts d'écorce. Quand la solution se mettait à épaissir, il l'enrichissait d'un tiers de vin qu'il puisait à même les réserves de Poing-de-Fer. Voilà qui ne manquait point de faire jurer le pirate :

— Par le Christ ! Qu'as-tu à gaspiller c'te boire de qualité pour tes fadasseries de mignon !

— Gros talvassier !

Pirates III - L'Emprise des cannibales

vendredi 3 octobre 2008

Faire de l'espace

Veuillez noter que pour faire de l'espace sur mon serveur distant (à cause des coûts qui y sont associés), j'ai fait un peu de ménage sur les photos qui meublent le blogue. Ainsi, à part les illustrations liées au carnet de Communications-Jeunesse, j'ai supprimé toutes les images datant d'avant janvier 2008.

Si, pour une raison ou une autre, vous voulez revoir l'une d'elles, il suffit de me laisser un commentaire sur cette entrée de carnet et je me ferai un plaisir de l'y remettre. Merci de votre indulgence légendaire (on n'est jamais trop poli quand on frustre un internaute).


Un peu, beaucoup bandits

J'ai reçu aujourd'hui une correspondance de Citi Financière qui m'annonce, toute guillerette, que j'ai été présélectionné pour un merveilleux prêt de 15.000$. Pour bénéficier de l'argent, il me suffit d'ouvrir un compte dans une des succursales de l'entreprise.

Il y a bien une petite impropriété en français dans leur lettre : "Si un supplément d'argent tomberait à point..." On ne leur a pas appris qu'avec un "si" on met l'imparfait pas le conditionnel, mais ils sont tellement soucieux de notre bonheur, qu'on leur pardonne.

Mais... mais... que vois-je ? Que...?

Vous savez c'est quoi le taux d'intérêt annuel ? 29,5% ! Vous avez bien lu : 29,5%. Attendez, je vous l'écris plus gros pour que vous soyez certains : 29,5% tab... ! Crosseueueueurrrs !

Plus bandit que ça, tu te promènes dans la rue avec un gun pis tu tires partout.


Pas déjà ?

Eh oui, vous lisez bien. Neige ! C'est bien ce que Météomédia annonce pour mon coin, ce soir.



Bon, 5°, ce n'est pas si mal, mais, quand même, on sent que ça s'en vient. Où ai-je rangé mes raquettes, déjà ?

jeudi 2 octobre 2008

Images du Togo

Nous avons reçu d'autres photos de notre filleul Tchaouda, au Togo, que nous parrainons par l'entremise de Plan Canada.

On le voit seul, et en compagnie de sa maman et de l'une de ses petites soeurs.




mercredi 1 octobre 2008

Les parfums de la campagne

Au bout de notre champ :









Les cultivateurs ont eu la délicatesse de s'assurer d'abord de l'emplacement de notre puits, ensuite de ne pas arroser sur le côté où l'odeur aurait pu être plus forte. Et malgré ces sages précautions... ooooohhh!

Espérons que ça ne donnera pas de parfum à l'eau potable, déjà qu'elle a un petit arrière-goût de grenouille.

Voici la vidéo :