vendredi 29 août 2008

La rentrée

On voit que c'est la rentrée scolaire ; ma boîte à courriels commence à s'emplir de demandes d'ateliers pour la prochaine année.

J'en profite pour souhaiter une bonne rentrée à mes lecteurs, mais aussi à ces enseignant(e)s et bibliothécaires impliqués que j'ai le plaisir de côtoyer tout au long des sessions.

Vous faites un métier génial. Vous êtes le pilier d'une société. Si. Je le dis sans flagornerie. Vous êtes importants parce que vous bâtissez l'avenir.

C'est un plaisir et un honneur de travailler de concert avec vous.

mercredi 27 août 2008

Encore et encore des fleurs !

De la façon dont Nancy a aménagé le jardin, il pousse de nouvelles fleurs, chaque semaine. Avec le beau temps des derniers jours, c'est encore plus évident.

Au risque de passer pour une moumoune (et de faire d'un site de littérature, un site d'horticulture), je vous mets d'autres photos de fleurs. J'y peux rien, je trouve ça beau. On ne se refait pas.















mardi 26 août 2008

L'écrivain zen

Que fait un écrivain, le soir, après souper, quand il a les yeux fatigués d'avoir écrit et lu toute la journée, qu'il ne veut pas s'abrutir des stupidités diffusées à la télé, et que sa blonde n'est pas là pour prendre soin de lui ?

Il chausse ses sandales, fait trois pas dans le jardin et cueille des pommes, pardi ! Ensuite, il passe la soirée à regarder bouillir la compote.

Plus zen que ça, tu t'assois en lotus et tu lévites.





lundi 25 août 2008

Et de quatre !

Pendant que mon éditeur prend du retard dans la révision de Pirates 2 - La Fureur de Juracan, moi, j'en profite pour prendre de l'avance sur mes autres projets.

Après le cinquième tome de Les Voyages de Nicolas, Trafic au Burkina Faso, voilà que je suis à écrire le troisième chapitre (d'une vingtaine) de Pirates 4 - Le Cacique blanc (titre provisoire).

Je suis rendu loin dans cette saga qui me passionne chaque jour davantage. Et dans ma tête, l'histoire se développe au point que j'ai déjà des notes pour les tomes 5, 6 et 7. J'espère que mes lecteurs ne s'essouffleront pas avant moi.

vendredi 22 août 2008

Full mature

Fin août, la nature est full mature (comme qu'on dit quand on est full class). Le foin est en fleurs et tricoté serré. Pas facile de faire du vélo dans les prés. Une chance qu'il y a les pistes des (maudits) 4-roues pour me permettre de passer, mais ça m'oblige à faire le tour par la piste qui longe les maisons des voisins d'en haut de la côte.





Cliquez sur la photo pour voir le panoramique en haute résolution :

jeudi 21 août 2008

Je me demande...

Je me demande quel prix s'afficherait si un zèbre passait devant le scanneur de mon épicier.

Chienne de vie

Dire que je pourrais travailler bien au frais, de 8h à 5h, dans un beau bureau climatisé. C'est trop injuste.




Recension radio

L'HOMME DE PARTOUT
© L'Hexagone, mars 2013


CIBL 101,5 - MONTRÉAL
Sophie Ginoux
20 août 2013 

La Haute-Côte-Nord

Pour ceux qui ne connaissent pas la Côte-Nord, voici quelques photos supplémentaires :

















À la hauteur de Tadoussac, un voilier poursuivi par une averse :


mardi 19 août 2008

Je suis reviendu

Me voilà de retour de la Côte-Nord où, au lieu d'aller à la pêche comme prévu, j'ai préféré profiter du beau temps pour faire de la randonnée.




J'aime beaucoup ces lacs et ces rocs forgés par les glaciers. Paysage typique de la Haute-Côte-Nord.






Clair de lune sur le lac Atisocagamac de la pourvoirie Canyon.

mercredi 13 août 2008

Les percées vides

Vous avez observé les Perséïdes, vous autres, hier ? À Saint-Marcel, pas grand chose à voir.

Ici, on voit Persée se lever au milieu des nuages au-dessus du village.


La lune était trop brillante. Au moins, elle faisait un beau couple avec Jupiter.

Mais où est Camille ?

Il est à la pêche pour la semaine.

dimanche 10 août 2008

Fleurs ou soccer ?

Puisque Taël, le fils de mon ami Carl, préfère les fleurs au soccer, ces photos sont pour lui.



















samedi 9 août 2008

Un congé

Depuis la fin des ateliers scolaires, à la fin mai, je n'ai pas lâché mon clavier pour écrire. En deux mois et demi, j'ai écrit le troisième tome de Pirates (50.000 mots) et le cinquième de Les Voyages de Nicolas (6.000 mots). Je mérite bien un petit congé. Allez, dites oui.

Cette semaine, je vais faire un tour dans ma région natale, Forestville, et me paie une escapade de pêche avec mon frérot. Ça fait longtemps, tiens.

vendredi 8 août 2008

À quoi ressemble...

... un siffleux mouillé ?




Trafic au Burkina Faso

En parallèle à ma saga PIRATES, je poursuis toujours ma populaire série Les Voyages de Nicolas (mais si, mais si, elle est populaire).

Avant même que je l'apprenne à mon éditrice, je vous le dis à vous, ma bande de gâtés qui suivez ce blogue avec assiduité, il y aura un cinquième titre. Vvvvouuuiii ! Ce sera le même que celui de cette entrée de carnet sinon on se demande pourquoi je mettrais un pareil titre à une entrée de carnet.

Vous suivez toujours?

Bien. On voit que vous êtes allumés. Pour me garder dans vos bonnes grâces (et pour faire fuir les mauvais adeptes), je vous transcris ici un petit extrait du roman qui paraîtra.... en automne 2009. C'est loin, pas vrai? D'ici là, en attendant les droits d'auteur, j'accepte tout don quel qu'il soit, sauf en billets Canadian Tire.

« Je ne réfléchis donc pas et bondis vers l'autobus pour lui barrer la route. Campé sur mes jambes en plein milieu de la piste, bras étendus de chaque côté de moi comme pour le saisir, je cherche à arrêter le véhicule qui arrive dans ma direction.

Je distingue très bien le chauffeur qui m'observe, les yeux arrondis, et le chef qui me jette un regard incrédule et méprisant à la fois. Je vois la femme qui me paraît vraiment la plus méchante du lot avec son expression remplie de haine, et le dernier passeur, l'air trop imbécile pour exprimer quoi que ce soit. Derrière eux, je perçois, mais sans y prêter attention, les mines catastrophées des enfants enlevés, dont celles de Bagnomo et Mamounata.

L'autobus prend de la vitesse à chaque seconde, fonce sur moi dans son nuage de fumée, et je n'ai, pour l'arrêter, que mes deux bras ouverts et ma musculature de garçon de dix ans. »


mercredi 6 août 2008

Ainsi faon, faon, faon...

Je lisais dans la cuisine d'été (convertie en salle de lecture), je me lève pour m'assurer que mon souper n'est pas en train de brûler, qu'aperçois-je par la fenêtre du salon ? Une maman cerf et son faon. (La maman n'est pas ma jolie voisine de l'autre jour, car celle d'aujourd'hui était plus petite.)

Je sentais les deux bestioles nerveuses, aussi me suis-je empressé de sauter sur mon Kodak pour les mitrailler. Voici mes meilleures prises :

La maman :




Le petit (ou la petite, je ne sais pas, je ne suis pas allé voir dessous):


Ici, ils traversent l'entrée :


Hop! L'herbe commence à être haute :


Ils sont restés un bon moment au bout de ce champ :


L'herbe est trop haute et, à cette distance, on n'aperçoit plus le faon :




Dire que Nancy se plaint de ne pas avoir vu un seul chevreuil, cette année ; elle va être drôlement frue quand je vais lui raconter ça au téléphone.