dimanche 20 février 2011

Les illusions perdues

De ce temps-ci, je lis (ou relis) de nombreux classiques. Cette semaine, en lisant Les Illusions perdues de Balzac, je suis tombé sur cette phrase qui m'a beaucoup frappé :
« On passe une bonne partie de sa vie à sarcler ce que l'on a laissé pousser dans son coeur pendant son adolescence.»
C'est terriblement beau, mais, en même temps... troublant.

Et si c'était vrai ?

5 commentaires:

  1. Je dirais même pendant son enfance. Je dis souvent qu'on ne sort pas indemne de son enfance.

    Ah! oui, toi aussi tu relis les bons vieux auteurs? En téléchargement?

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  2. Non. Des bouquins dérobés dans la bibliothèque de ma belle-maman avant mon départ. Et je suis (re)tombé en amour avec Flaubert.

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  3. Je dois bien lire Madame Bovary aux 6-7 ans, mais je ne me décide pas pour rien d'autre. Suggestion?

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  4. "L'Éducation sentimentale", son chef-d'œuvre.

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  5. Merci. Je vais m'y risquer en voyage, d'autant que dans mon petit classe B, pas de place pour bien des livres et j'apporte deux gros Ken Follett alors j'ai trouvé Flaubert sur Google Livres.

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