lundi 30 janvier 2012

Un oiseau sportif

Une amie lectrice m'a fait parvenir cette vidéo étonnante tournée en Russie. Un pigeon s'amuse à faire de la planche à neige !

samedi 28 janvier 2012

Compagne de lecture

Pendant que je lis, cette mante religieuse s'assure que je ne me ferai pas achaler par les papillons qui volètent dans les plantes bordant le VR.

Quelqu'un pourrait lui dire que, les papillons, ça ne me dérange pas ?




Joke de mariés

Mes amis (qui sont très jaloux), m'envoient que des blagues sur les mariés. Je ne vais pas vous les reproduire ici, parce que je ne suis pas de même (à moins que, par inadvertance, mon logiciel fasse un copié/collé que je n'ai pas demandé).

Une femme demande à son mari :
«Qu'est-ce que tu aimes le plus chez moi, la beauté de mon visage ou mon corps sexy?»

Il la regarde de la tête aux pieds et réplique :

«Ton sens de l'humour.»

vendredi 27 janvier 2012

Le salut à Hitler

Maintenant, je comprends.

mercredi 25 janvier 2012

El Gino de México

Collier en corne de taureau et un autre avec une dent de requin.

Ajoutez à ça mon bracelet de cuir et mon jonc de corail, je ne suis plus un Gino, mais une vraie poupoule de luxe.




lundi 23 janvier 2012

L'Homme de partout - extrait 1


« Elle penche brusquement le corps vers moi et pose un baiser sur mes lèvres. Le contact est d'abord un heurt, sec, à la limite de la violence, nos dents s'effleurant, puis la poussée s'ajuste, se fait caresse, un sucré d'hydromel mêlé de saveur sauvagine, une pulpe d'abricot, un goût de drupe cueillie à sa maturité, à la fois soyeuse et explosive... Ses longs bras se croisent derrière ma nuque, les miens emprisonnent son dos puis, jambes enchevêtrées, cheveux et salive entre nos bouches, nous basculons sur le lit.

Nous restons ainsi un bon moment, nos langues exprimant sans paroles l'émoi que jettent en nos abîmes la nostalgie de mes automnes et la souillure de son adultère.»

samedi 21 janvier 2012

Spectaculaire éruption !

Cette spectaculaire éruption solaire est survenue le 2 janvier dernier. La Terre s'en est bien tirée puisque l'explosion a eu lieu du côté opposé au soleil et dans une période l'année où notre étoile est au plus près de nous.

Si nous sommes témoins, c'est que l'éruption a été filmée par le satellite Soho qui orbite autour du soleil.

Frissonnez :



(Doublecliquez sur l'image pour revoir.)

mercredi 18 janvier 2012

Les croque-morts

Trop drôle, les croque-morts.

Allez hop, je partage !



dimanche 15 janvier 2012

La Dame de Panamá, extraits

Et une fois de plus, ne reculant devant rien pour réjouir le cœur des habitués de ce blogue, et à la demande générale (d'au moins une lectrice), voici un extrait du roman qui paraîtra en mai chez Hurtubise : La Dame de Panamá !


C'est sur moi, toujours, depuis mes douze ans, sur qui les hommes posent leurs regards, pour qui ils soupirent après mon passage. J'en pèche souvent par une sorte de vanité qu'il me faut bien confesser chaque dimanche si je veux recouvrer la pureté de mon âme avant de communier.

— Voilà qui est bien de votre âge, m'a réconfortée Fray Jesús à ma dernière confidence dans l'isoloir, mais n'oubliez pas, doña María, que ce péché s'exacerbe du fait que vous êtes mariée.

— Depuis deux ans, mon père. Dieu me pardonne.

— Il vous pardonne, allez ! Ce n'est pas si grave. Mais ne vous amusez plus à semer l'émoi dans le cœur des hommes de votre entourage.

Mais c'est plus fort que moi. Dieu m'a faite belle, Dieu m'a faite riche, et, pareille à un tableau soigné du plus grand des peintres, je me complais à faire étalage de mes traits et de mes soieries à qui veut les admirer.

La Dame de Panamá
© Éditions Hurtubise, 2012
Ah, pis, au yable, les dépenses ! Pour vous, je peux bien me mettre en frais. Voici un autre extrait :
— A... amiral ! Vous vous adressez à... à une femme mariée ! Je vous en prie. Il n'est pas séant que vous mettiez ainsi votre cœur à découvert.

Il lève vers moi un visage à demi masqué par le clair-obscur du couchant que jette la porte du balcon derrière lui. Pourtant, il me semble bien distinguer dans ses yeux la mouillure émouvante de la sincérité.

— Madame, moi aussi, je suis marié, et pourtant...

Je recule d'un pas supplémentaire afin de m'assurer que ses doigts ne caressent un ruban de ma robe qu'ils sont sur le point d'atteindre. Je l'interromps :

— Marié ! Vous également ! Mais voilà qui est de la plus grande déshonnêteté ! Cessez de me torturer et, de grâce, relevez-vous.

Il m'obéit, mais ce n'est que pour mieux réduire l'écart que j'avais tenté de creuser entre nous.

— Le mariage ne nous coupe pas de nos sentiments, señora. Dieu a voulu, en dépit de nos origines différentes, que nous nous rencontrions ; n'est-ce pas là la plus belle preuve de Son désir de voir lier nos destinées ?

— Nos destinées sont déjà liées. Et chacun avec quelqu'un d'autre !

— Nos sorts d'époux, certes, mais notre bonheur ? Je le pressens voué à nous unir vous et moi. Soyez sincère, votre cœur, que ressent-il à mon égard ?

— La question n'est pas là. Elle tient de nos passés respectifs. Nos cœurs ne sont plus libres.

— Pourquoi nos mariages nous couperaient-ils du bonheur ?

— Mais, amiral, une femme qui se marie renonce au bonheur !
La Dame de Panamá
© Éditions Hurtubise, 2012

mercredi 11 janvier 2012

La Dame de Panamá

Encore une fois, parce que vous êtes des petits privilégiés de la vie, je vous montre avant tout le monde, même avant ma vieille maman (je ne recule vraiment devant rien pour vous prouver mon amour), je vous montre donc, dis-je et assumé-je, la couverture d'un roman qui sortira en mai prochain et qui s'adresse aux adultes et aux ados allumés :



Cette image magnifique est l'œuvre de l'illustratrice Magali Villeneuve.

Non, mais, hein ? Votre journée n'est pas plus belle, maintenant que vous êtes venus sur ce blogue ?

lundi 9 janvier 2012

Funérailles de singe

Ils ont vraiment l'air de comprendre ce qui se passe.


 

vendredi 6 janvier 2012

De Groucho Marx

Cité par mon ami Nicholas Bavard, chez Bayard Jeunesse :
Je trouve que la télévision à la maison est très favorable à la culture. Chaque fois que quelqu'un l'allume chez moi, je vais dans la pièce d'à côté et je lis.

mardi 3 janvier 2012

De Daniel Pennac

« Le verbe lire ne
supporte pas l'impératif. Aversion qu'il partage avec quelques autres :
le verbe "aimer", le verbe "rêver"...

[...] Les rares adultes qui
m'ont donné à lire se sont toujours effacés devant les livres et se sont
bien gardés de me demander ce que j'y avais 'compris'. »
Daniel Pennac
Comme un Roman

lundi 2 janvier 2012

Vous ne me croyez pas

Je sais que vous ne me croyez pas, mais c'est écrit en toutes lettres dans cet article ici, la personne qui a reçu une météorite sur le toit de sa maison (défoncée) s'appelle madame... Comette !

Et après, on dira que les écrivains exagèrent parfois.