mercredi 6 août 2008

Ainsi faon, faon, faon...

Je lisais dans la cuisine d'été (convertie en salle de lecture), je me lève pour m'assurer que mon souper n'est pas en train de brûler, qu'aperçois-je par la fenêtre du salon ? Une maman cerf et son faon. (La maman n'est pas ma jolie voisine de l'autre jour, car celle d'aujourd'hui était plus petite.)

Je sentais les deux bestioles nerveuses, aussi me suis-je empressé de sauter sur mon Kodak pour les mitrailler. Voici mes meilleures prises :

La maman :




Le petit (ou la petite, je ne sais pas, je ne suis pas allé voir dessous):


Ici, ils traversent l'entrée :


Hop! L'herbe commence à être haute :


Ils sont restés un bon moment au bout de ce champ :


L'herbe est trop haute et, à cette distance, on n'aperçoit plus le faon :




Dire que Nancy se plaint de ne pas avoir vu un seul chevreuil, cette année ; elle va être drôlement frue quand je vais lui raconter ça au téléphone.


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