mardi 29 juin 2010

Sauter la cinquantaine !

Dans le dernier mois, stationné face au fleuve, j'ai pondu 30.000 mots, sans compter les corrections pour Un Massacre magnifique. On est loin d'un record, mais je n'ai pas perdu mon temps.

J'ai écrit un court récit pour un album d'information sur les montgolfières. J'ai écrit un roman qui s'appelle L'Après-Monde, et j'ai écrit le premier tome de ma nouvelle série Flibustiers du Nouveau-Monde (Le Trésor de l'esclave).

Qu'a-t-il de particulier, celui-là ? Eh bien, il s'agit de mon 50e titre, pardi ! Voui, mes amis ! Sortons les tambours, boum-badaboum ! (Et encore, en tenant compte que Le Rôdeur du lac est un texte complètement remanié [d'un roman précédent, Absence], il s'agirait plutôt de mon 51e !!!)

Enfin. Maintenant qu'on se prépare à reprendre la route, je m'attaque à un neuvième roman de la série Les Voyages de Nicolas.

Y en a-t-il encore pour dire que je me contente de me la couler douce ? Hmm ?

2 commentaires:

  1. Oh la la Camille.... c'est vraiment très impressionnant !!!

    L'autre matin, je me suis levée très tôt pour aller voir le rose de la rivière, calepin et appareil photo en main, bien sûr. Imagine-toi donc que j'étais folle comme de la m.... de revenir chez moi deux heures plus tard, avec QUATRE idées de haïku ! ! WOW!

    Je sais qu'on évolue pas dans le même genre littéraire, mais quand même, que tu arrives à écrire 30 000 mots en un mois, je trouve ça phénoménal... tu as toute mon admiration, bravo!

    Bravo aussi pour ton 50ième...! Au rythme que je publie mes recueils, si la tendance se maintient, moi j'aurai 133 ans quand j'en serai à mon 50ième. Ah! ah! ah! ;-)

    Bonne suite à ton voyage... avec Nicolas et les autres! (En espérant que les pirates se feront rares sur ta route...!)

    Hélène
    PS. Si tu n'étais pas si loin, je t'enverrais une belle assiette de 50ième avec de la belle dorure ;-)

    RépondreEffacer
  2. Salutations à toi, super Hélène !

    Ce qu'il y a d'extraordinaire avec vous, les poètes de haïku, c'est que, en 4 vers, vous exprimez ce qui nous demande, à nous, romanciers, 30.000 mots. Non, ce n'est pas le même univers mais, l'un comme l'autre, qu'est-ce qu'on travaille fort!

    (Quel dommage ! Moi qui rêve d'une belle assiette avec de la dorure.)

    Bises XX

    RépondreEffacer

Merci de laisser votre commentaire. Vous lire sera un plaisir.