jeudi 31 juillet 2008

Ainsi en est-il

Je passe devant la fenêtre et qu'aperçois-je? Un faucon en train de bouffer un oiseau qu'il vient d'attraper. Il y avait un moment que j'entendais des pépiements d'alarme chez les bruants, mais ça leur arrive tellement souvent que je n'y prêtais pas attention. Je m'empresse donc de récupérer mon appareil-photo (qui n'est jamais loin) et clic, clic, clic !






Il me vient alors à l'esprit les remarques reçues ces jours-ci par mes fidèles, adorables et merveilleuses lectrices de ce blogue : à leurs yeux, les extraits de roman que je publie sur cette page semblent très violents. Le faucon m'apporte une étrange réponse et me fait improviser, pour lesdites fidèles, adorables et merveilleuses lectrices, le poème suivant :

Ainsi en est-il de la nature
Comme de la littérature :
Un peu de poésie,
De la violence aussi.

La vidéo qui suit est un peu dégoûtante pour les végétariens ; ces derniers, vous abstenir :

2 commentaires:

  1. Merci Camille pour le passage poétique.C'est vrai que la violence est devenue quotidienne ; mes remarques parce que j'avais l'impression qu'elle était en continu dans le livre. Il est vrai que le cri des corsaires est" A l'abordage!!"
    Bon courage pour la suite.
    Claudette

    RépondreEffacer

Merci de laisser votre commentaire. Vous lire sera un plaisir.