Bilan de SILQ

Je suis arrivé chez moi dans la soirée d'hier, de retour du Salon International du Livre de Québec (où Martiiiiine a été honorée à 1.000 reprises). Je suis encore étourdi de cette orgie de la multitude et, comme chaque année, j'en reste avec un goût doux-amer.

Doux à cause :

• des tas d'amis auteurs que j'ai retrouvés en cette occasion;
• des belles rencontres faites avec mes lecteurs (anciens, nouveaux et potentiels);
• des belles rencontres faites avec plusieurs professeurs;
• du beau cadeau que m'a offert une lectrice de la première heure (merci pour la magnifique plume Ann-Renée);
• des discussions passionnantes avec Andrée Poulin;
• de l'heure de rigolade partagée avec Francine Pelletier;
  
• des beaux commentaires reçus par plusieurs lecteurs;
  
• de l'accueil chaleureux de mes éditeurs.

Amer à cause :

• du bruit et de la fatigue;
• de l'air sec et irrespirable;
• de l'animation que je n'ai pu faire à cause d'un conflit d'horaire et d'une erreur commune entre un éditeur et moi;
• du temps trop court consacré à mes amis Martiiiine, Sylvie Marcoux, Jean Paquin, Michel Noël, Michèle Marineau, François Gravel, Sylvie Roberge, Marc Proulx, Robert Soulière, Angèle Delaunois, Ann-Renée Giguère, Carl Beaudoin (avec Fanick et Taël) et plusieurs autres encore;
• du tourbillon si intense de la foule que j'ai failli ne pas reconnaître Mélina et Chloé (ce fut de justesse que je ne me rende ridicule — et encore ! ajouteront les mauvaises langues).

Je ne me répèterai pas en mentionnant encore une fois que je n'aime pas les gros Salons à cause de ce qui précède, mais je vous dis quand même que j'aime les petits Salons à cause de tout ce qui précède ce qui précède.