Après des mois de recherches et des semaines à monter la structure du texte, j'ai entrepris ce matin l'écriture comme tel de mon tout nouveau (gros) roman jeunesse intitulé provisoirement Un massacre magnifique (j'ai l'intention de changer le titre, mais je vous en reparlerai plus tard, car le titre serait assez éloquent et, pour le moment, je préfère garder pour moi le sujet de mon récit).
Voici la toute toute toute première phrase du prologue :
On verra, cent mille mots et cinq cents pages plus tard, ce que je serai parvenu à faire de cette histoire.
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Voici la toute toute toute première phrase du prologue :
« Il y avait l'horizon et, par-delà celui-ci, un autre horizon. »
On verra, cent mille mots et cinq cents pages plus tard, ce que je serai parvenu à faire de cette histoire.
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Ça promet!
RépondreEffacerToi qui aimes la mer, tu seras servie.
RépondreEffacerComme première phrase, c'est accrocheur en tigidou. 100 000 mots... Mamamia... j'ai le vertige rien qu'à y penser...
RépondreEffacerMoi qui est fascinée par la mécanique de l'écriture, t'aurais pas envie de nous raconter un peu ça veut dire quoi, "monter la structure de ton texte"? Tu tricotes ça comment?
Andrée
Allô, Andrée !
RépondreEffacerC'est prévu que, d'ici quelques temps, je vous en parle. Je monte des tableaux, fais des dessins... et ça m'aide beaucoup.
Quand je serai prêt à parler de mon sujet, je publierai une idée de la façon dont j'ai travaillé la structure. Mais, vu que t'es mon amie, si ça te dit, quand on se croisera (au prochain SLM, peut-être?), je pourrai te montrer tout ça en détails sur mon portable.
Ça te dirait d'écrire un reportage sur le processus de création ? (Hum, te connaissant, tu l'as probablement déjà fait).