Départ très tôt ce matin pour nous rendre au volcan La Soufrière, point culminant des Antilles avec 1467 m. Voiture de Pointe-Noire à Basse-Terre puis dans le gros trafic jusqu'à Saint-Claude où l'on entreprend un chemin en pente qui s'en va toujours rapetissant et zigzaguant.
Stationnement à l'arrêt des Bains Jaunes, car la route ne va pas plus loin depuis l'éruption d'il y a 3-4 ans. Ça rallonge la marche de 40 minutes aller-retour. Quand on atteint l'ancien stationnement, là, la grimpette commence. Les pistes sont assez bien balisées et relativement entretenues sur les premiers mètres. C'est par après que ça se gâte. Sentier rocheux étroit couvert de mousse humide. Ce n'est pas une balade qui s'improvise comme l'apprennent à leurs dépends plusieurs randonneurs que nous croisons et qui redescendent sans avoir atteint le sommet.
Surtout que, à mesure que l'on grimpe après Saint-Claude, on progresse dans une couche nuageuse quasi-perpétuelle. Nous macérons dans un brouillard épais, froid, à la merci des alizés. Mon appareil-photo ne tiendra pas le coup. Il me lâche au retour. Il a trop bu. Puisque je n'ai pas de lecteur de cartes SD, impossible de vous présenter pour le moment les images et les bouts de film que nous avons faits. Dommage, car ça vous aurait donné une bonne idée du climat au sommet du volcan. Des vents terribles qui soufflent une pluie à défriser un rasta mettent à mal nos pauvres cirés cheaps payés 1$ au Dollarama (eh oui, Guy, ça m'arrive des fois, désolé).
Ceci dit, nous avons atteint le sommet trempés des cheveux au bout des orteils et, 4h30 après notre départ, nous étions bien contents de retrouver notre véhicule dans lequel nous attendaient des vêtements secs. Mon dos tient le coup, preuve que je rajeunis.
Dès qu'on réussit à récupérer nos images, on vous les publie ici.
Stationnement à l'arrêt des Bains Jaunes, car la route ne va pas plus loin depuis l'éruption d'il y a 3-4 ans. Ça rallonge la marche de 40 minutes aller-retour. Quand on atteint l'ancien stationnement, là, la grimpette commence. Les pistes sont assez bien balisées et relativement entretenues sur les premiers mètres. C'est par après que ça se gâte. Sentier rocheux étroit couvert de mousse humide. Ce n'est pas une balade qui s'improvise comme l'apprennent à leurs dépends plusieurs randonneurs que nous croisons et qui redescendent sans avoir atteint le sommet.
Surtout que, à mesure que l'on grimpe après Saint-Claude, on progresse dans une couche nuageuse quasi-perpétuelle. Nous macérons dans un brouillard épais, froid, à la merci des alizés. Mon appareil-photo ne tiendra pas le coup. Il me lâche au retour. Il a trop bu. Puisque je n'ai pas de lecteur de cartes SD, impossible de vous présenter pour le moment les images et les bouts de film que nous avons faits. Dommage, car ça vous aurait donné une bonne idée du climat au sommet du volcan. Des vents terribles qui soufflent une pluie à défriser un rasta mettent à mal nos pauvres cirés cheaps payés 1$ au Dollarama (eh oui, Guy, ça m'arrive des fois, désolé).
Ceci dit, nous avons atteint le sommet trempés des cheveux au bout des orteils et, 4h30 après notre départ, nous étions bien contents de retrouver notre véhicule dans lequel nous attendaient des vêtements secs. Mon dos tient le coup, preuve que je rajeunis.
Dès qu'on réussit à récupérer nos images, on vous les publie ici.
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