Salut, gens du pays !
On est arrivés hier soir, 23 h, heure du Québec, mais à 5 h du matin, heure de l'Espagne. Estamos un poquito poqués. On n'a pas dormi pendant 24 heures, histoire de faire les 2 heures de vol, Madrid-Paris, puis de courir prendre notre vol Paris-Montréal parce que notre connexion était aussi serrée qu'un jeans d'adolescente (Pardon, monsieur, votre connexion est à quelle heure ? Ah, dans deux heures ? Vous nous permettez de passer devant vous ? Voyez. Notre connexion est dans 15 minutes. Merci. Monsieur le douanier, c'est gentil de nous faire la conversation, mais notre connexion est... oui, voilà, merci. Pardon, madame. À quelle heure votre connexion? Vous nous permettez de passer devant vous?). Ouf ! On monte à bord avec les derniers passagers en partance. Et là, on se demande si les valises, elles, ont eu le temps de nous suivre, parce qu'à Madrid... Enfin, vous connaissez l'histoire. Ensuite, on avait 7h30 de vol Paris-Montréal et 4 heures de route Montréal-Saint-Marcel.
Surprise ! Non seulement nos valises nous attendaient sur le chariot à Montréal, mais en plus, elles sont sorties les premières. Re-Surprise ! La préposée d'Air France à Montréal (à qui nous avons fait une réclamation pour la valise brisée lors de notre arrivée à Madrid) est d'une gentillesse incroyable. Ça nous change de la face de boeuf de Madrid (c'est vrai que les boeufs, en Espagne, ils aiment ça).
Tout ça pour dire que nous sommes chez nous, au milieu de la mauvaise herbe de 10 pieds de haut... et des mouches noires. Olé !
Bon retour à toi et Nancy et merci de nous avoir permis de voyager aussi grâce à ce carnet!
RépondreEffacerMartine
Et merci de nous avoir suivis. On se sentait en bonne compagnie.
RépondreEffacerHeureuse que le retour se soit mieux passé que l'aller.Aprés avoir voyagé grâce à tes textes, nous espérons pouvoir bientôt voyagé grâce à tes photos.
RépondreEffacerBon retour à tous les deux et bonne reprise à Nancy.
Céline
Allô, Céline. Oui, donne-moi encore 2-3 jours et tu pourras nous admirer en train de déambuler au pays de la sangría (hmmmm).
RépondreEffacerMerci de ta fidélité à toi aussi, ainsi qu'à Claudette.