lundi 21 avril 2008

Mon SILQ

Le Salon International du livre de Québec (SILQ pour les intimes) a été différent pour moi, cette année. D'abord, l'an dernier, je l'ai sauté (c'est sûr que c'est un gros changement ; vous savez que je n'aime pas beaucoup ces gros happenings.) Mais ce qui différencie surtout mon SILQ des précédents, c'est que je n'ai pas "fait" les journées scolaires. Je vieillis, car ces matinées sont devenues trop épuisantes pour moi.

Voir courir des classes entières d'un bord à l'autre des allées, n'avoir que des contacts rapides avec les jeunes qui, pour la plupart, se contentent d'accumuler les signets... Non, c'est trop d'énergie pour trop peu de plaisir. Cette formule serait sans doute à revoir par les Salons, mais je ne suis pas assez brillant pour proposer la solution qui améliorerait les choses.

Outre ma lecture publique du vendredi soir, je me suis donc contenté d'être présent samedi et dimanche pour des séances de signatures.



Aucun commentaire:

Publier un commentaire

Merci de laisser votre commentaire. Vous lire sera un plaisir.